37_05/01/2006 20:07 - Chili en vitesse

Chili – du 9 au 29 décembre 2005.


Le Trajet :
Lima – Santiago – Viña del Mar / Valpariaso – Santiago – Puerto Varas – Puerto Montt – Puerto Eden – Puerto Natales – Torres del Paine – Punto Arenas


Le TOP :
Passer du nord au sud par les canaux, le pacifique, les fjords et des vues incroyables. Le plateau de fruits de mer chaud à Puerto Varas avec Loreto. La marche dans le parc de Torres del Paine, malgré les ampoules... je me suis surpassée grâce à la petite troupe qui m´a entrainée.


Le Flop :
Plus de deux jours de bus entre Lima et Santiago... Ne pas réussir à joindre mon oncle et ma tante à Viña del Mar : Devoir aller vite et rater l`Ile de Chiloé. Et les Ampoules aux pieds !


En résumé :
Au lieu de courrir vers Machu Picchu, Titicaca, et quelques autres lieux que já vais envie de visiter, j´ai préféré aller directement au Chili et prendre le train de Santiago á Puerto Montt. Avant le bateau j´ai rencontrée Loreto l´amoureuse lointaine d´un copain de marseille avec qui je suis partie boire des verres, et se faire un bon resto puis refaire le monde sur la plage devant les volcans Osorno et je ne sais plus le nom de l´autre.
Sur le bateau entre Puerto Montt et Puerto Natales, j´ai rencontré plein de français, joué au tarot vus quelques bestioles dans l´eau, raté les baleine pour cause de Tarot et de risque de mal de mer... (le tarot est un bon antidote au mal de mer) et j´ai visité un petit port du nom de Puerto Eden (comme le paradis) où l´escale dur une heure ou une semaine...
En arrivant à Puerto Natales on s´est retrouvé à plusieurs et fait un treking dans le parc de Torres del Paine sous un soleil radieux et avec très peu de vent... Aucun de nous ne peux penser que le temps change vite qu´il est souvent couvert et pluvieux et que le vent n´arrète pas car nous n`avons presque rien eu de tout ça.


Le bus de Lima à Santiago :
Thomas et Mariela m´ont accompagnée au départ et fait de grands signes jusqu´à ce qu´au départ. Ça fait du bien et ça a été plus facile que le départ d´Iquitos pour Lima. Il faut dire qu´entre temps j´avais regardeé la carte du trajet entre Puerto Montt et Puerto Natales et ça m´a bien aidée.
Le trajet dot duré 2jours et 6 heures et faire un peu plus de 3000 km. La place que já vais réservée, car les places sont numérotées, était du coté gauche car c´était la dernière libre vers l´avant et en montant dans le bus toutes les numérotations étaient inversées. J´ai pu voir la mer pendant des kilomètre durant, mais au bout dé plusieurs jours de désert, la mer ou pas on en a marre.
Les bus Péruviens passent des vidéos et pendant des heures j´ai eu le droit á des films dignes d´un lendemain de cuite en espagnols sans sous titre et des clips vidéos locaux remontant des années 60 aux années « macaréna » : Je cite ce lcip car c´est le seul titre que je connaissais. Il y avait pourtant des extrait de concert d´Adamo, mais en espagnol je n´ai rien reconu !
Au bout de quelque temps ça aussi, y´en a marre, surtout que le son était tellement fort que je l´entendais malgré mon walkman...
Après 25 minutes de route pour sortir de Lima c´est le premier péage. Tout le long de la route se trouvent des stands comme partout sauf que ceux-là vendent des parasols, des chapeaux de pailles, des bouées, des matelas gonflables... On dirait que la plage n´est pas loin. A lima il est déconseillé de se baigner, consignes autant de sécurité que d´hygiène. Les plages que je vois là, ont l´air privées mais surtout sont derrière des murs en parpaings couvers de pubs.
Plus tard, plus loin, des taxis motos d´une nouvelle sorte attendent le chalan. Ils sont entièrement fermés et ressemble au petits véhicules à trois roues qu`on voit en France. Pas de vent pour rafraichir dans ceux là.
Le lit asséché d´une rivière s´est transformé en décharge. Une paillote est installée contre un arbre surplombant le flot de détritus. Autour des sacs rangés et quelques ordures en vrac. Un homme veille sur tout ça.
A un arrêt, j´ai voulu descendre mais le bus reste bouclé par sécurtié.
Des poulaillés aussi grand que des serres orthicoles, sont laissés dans une sorte d´abandon, certains n´ont plus de toits, d´autre seulement les contours et plus loin d´autres son tplein de poulets. Dans certains on ne voit qu´une masse sombre avec ça et là deux ou trois poulets qui ont trouvé un perchoir pour echapper à la foule. Dans d´autres ce sont des rangs de cages...
J´ai passé une borne kilométrique marquée Km 1222 mais je ne sais pas où est le Kilomètre Zéro !
Vers 11h30 le deuxième jour nous descendons du bus pour le premier contrôle des douanes péruviennes. Tout d´abord la recherche de fruit et légumes interdit au Chili puis la recherche de drogue. Les hommes et les femmes sont séparés, tout le monde est fouillé.
Pendant qu´on attend je comprend vaguement que les conversation stournent autour des mules (passeurs de drogues, souvent dans leurs intestints) de panétones chargés (en cette périodes de noël !) et autres histoires de drogues et passages. J´aurais aimé mieux comprendre.
J´ai eu le droit à la fouille du sac  « de cabine » et des poches mais rapide :  Pour mes gros sacs dans la soute, le douanier s´interresse plus à ce que j´ai vu au Pérou et à Aréquipa d´où il est qu´à ce qu`il y a dans mon sac. Surtout que le chauffeur est d´Iquitos et que s´engage une rivalité entre les deux villes...
Une fois les fouilles faites, je dois aller faire enregistrer ma sortie de territoire. Nous ne sommes que deux étrangères, une canadienne qui vient d´étudier à Lima et moi. Pour cette sortie de territoire il faut passer par deux guichets différents qui vont faire exactement la même chose, noter mon numéro de passeport, c´est tout. Aucune question par rapport à mon dépassement de date ni quoi que ce soit, c´est tout juste si on me prend le papier d´entrée dans le territoire à rendre à la sortie.
Tout ça nous a à peu près pris une heure et il nous reste la douane Chinilienne que l´on peu presque voir à quelques centaines de metres de route.
Là tous les  sacs sont alignés à terre en deux rangs, ceux de la soute et les autres, sauf le mien que j´ai gardé sur le dos. Une femme a distribués ses panetones de noel aux autres passagers pour être sure de pouvoir les passer car elle en a plus que les 6 autorisés... C´est noël ! Entre les deux rangs, les passagers par ordre de numéro de sièges.
Le chef arrive avec sont chien et lui fait renifler tout en insistant sur une grosse peluche qui sert de coussin à ma voisine de devant. Rien. Je comprend pourquoi les sacs sont alignés mais je ne´enlève pas le mien. Il n eme dira rien. En revanche, il ira demander les papiers de deux personnes coupable de délit de faciès... ici aussi ça existe.
Une de ces deux personnes ne passera pas la frontière. Au total se sont 7 personnes qui n´auraont pas l´autorisation d´entrer au Chili. Des amis sont séparées. Certains retenteront plus tard dans la journée, et nous apprendrons par les amis que leur nouvelle tentative a été plus fructueuse.
A 14h20 on repart aprés deux demi-tours car nous n´etions pas sur du nombre de personnes ayant passé la douane.
Je ne l´ai pas vu mais on m´a dit qu´un panneau indiquait Santiago à 2050 km.
Tacan est à 1300 km environ de Lima. Une belle trote au total...
4h15 premier réveil et il fait déjà jour. En fait, je ne le savais pas mais le Chili a un décalage de 2 heures avec le Pérou. A 6h30, heure péruvienne, le chauffeu remet la musique. J´ai les oreilles bouchées à force de monter et descendre de la montagne au bord de l`eau... Les plages ont changées d´aspect, il y a des rochers noirs partout.
Punto Fino est le premier village dont já ppercoit le nom et les maisons.
Avant on a croisé des lieux nommés Los Mecanos, Caleche, ou une plage avec des parasols plantés sur un banc en béon et à leur sommet un cormoran qui se repose.
Tout le long du rivage passe un tuyau et ici et là,un bloc en béton surmonté d´un robinet.
Une heure plus tard nous sommes à Caldera
Le désert rocheux a laissé place à un désert sec et sabloneux pendant des heures. Puis sont apparus des cactus parfois servant de clotures, bien rectilignes. Puis les eucalyptus sont de retour, et les plages, vides.
Les quelques vilages croisés ressembles plus à des villes nouvlles faites de maison en bois. Elles sont toutes semblables, avec le même espace qutour de chacunes d´elles et le même barbelé pour les délimiter. Espace qui deviendra un jardin luxuriant alors que la maison tombera en ruine. Mon oncle m´assure que les Chiliens attachent plus d´importance à leur jardin qu´à leur maison, quand je vois les jardins je peux le croire.
Qund je regarde dehors je me dis que ça pourait presque être la bretagne s´il n`y avait pas autant de cactus et d´algaves sur les coté ou des montagnes dans les nuages de l´autre coté de la route.


Valparaiso, la Vallé du Paradis :
Une maison orange, une maison bleue, une maison en bois, une maison jaune, une maison rose, une maison vertem une maison avec un étage en verre avec plein de plantes, des maisons de toutes formes et toutes couleurs à flanc des 42 cerros / colines. Des funiculaires en grève illimités et des porteños essouflés de monter à pieds, des virages dans tous les sens et un bus qui roule à toute vitesse, des rues en pentes et au milieu de tout ça « La Sebastiana »,une des maisons de Pablo Néruda qui surplombe le port et se noie dans la ville.


Les funiculaires de valaparaiso :
Les funiculaire sont en grêve ! Une institutions de Valparaiso, une monument historique,patrimoine mondiale de l´humanité comme ils disent sur leur panneau annoçant la grêve... ça n´empêche que j`ai un peu les boules de prendre le bus au lieu des funiculaires... C´est presque comme si on avait peint la ville d´une seule couleurs, c´est pas possible ! et pourtant c´est comme ça. Heureusement les couleurs sont toujours là.


Viña del Mar / Valparaiso :
Un train qui a été inauguré comme j´étais là. Il relit Valparaiso à Limache dans la campagne environnante. C´est le même train que Météor ou la ligne 14 à Paris (je ne suis plus sûre du nom) la seule différence c´est que celui-ci a un chauffeur.
Après Viña, puis Reñaca et leur constructions qui poussent comme des champignons pas beaux couvrant les dunes le long de la cote, après toute cette cote gachée, apparait Con-coñ pas encore défigurée avec ses plagesdont l´une au moins semble charier des débrits d´or. Ça brille et c´est magnifique tous ces reflets dorés sur le sable gris foncé.
J eme pose au soleil sur la plage aux reflets dorés. Des pélicans passent en groupe au raz de l´eau, on dirait qu´il sont synchornisés. Personne ne se baignent, cette plage n´est pas faite pour ça et le temps n´est pas aussi chaud que ne le laissait espéré ce début d´été.
Con-coñ, capitale chilienne de la gastronomie. Domage jene le savais pas, j´y suis arrivée après le déjeuner.


Dans le bus retour de Viña à Santiago :
Un bip assez fort a sonné deux ou trois fois sur le trajet. Le temps que je le localise et j´ai trouvé un mouchard qui annonçait chaque fois où le chauffeur dépassait les 100 km/h.


Santiago :
J´ai vu peu de chose à Santiago. Je devrais y repasser pour prendre l´avion pour l´île de Paques ...
De grandes avenues, des arbres et des parcs, une vielle et belle gare en fer forgée que les Creusotins, Yves et Marie, ont fièrement reconus comme ayant été construite grâce aux usines qui se trouvaient chez eux ils y a une centaine d´année. Une parc avec un funiculaire qui marche et surplombant la ville et son nuage de polution.
Sur le haut du parc, il n´y a plus que le scyclistes qui soufllent apprès l´accension en buvant une drôle de boisson dont la taille de la chope má fait reatrdé l´essai.
Dans l´autre parc Santa Lucia, j`ai croisé le péruvien qui avait fait le voyage avec nous, les deux étrangères, en bus.
Le métro de Santiago ressemble « étrangement »·au métro parisien, quand on entre dedans on peut voir que c´est Alsthom qui l`a construit.
Pour la partie Bateau, il faudar attendre un peu, il a beau pleuvoir à El Calafate près du Glacier Perito Moreno, ça fait déjà 5h que je me dépatouille avec mes écrits, mes photos, mon site et mes albums. Je vais faire une pause !!!
Mais avant les conexions n´étaient pas bonnes ou sans port usb pour vous montrer les photos, ou les deux...


A SUIVRE ...

Les cartes postales du bateau :



Le shreking dans Torres del Paine :



Le Voyage vers Ushuaïa :