Voilà

Voilà
La récupération du texte est faite
Il va falloir remettre les photos
ça prendra le temps que ça prendra

Les pages publiées n'ont pas été retouchées
les "fottes" d'orthographes sont d'origine
et autant vous dire que si ce n'était pas mon point fort avant
c'était le cadet de mes soucis pendant le voyage...
d'autant que les claviers locaux n'étaient pas très compréhensifs avec les accents et les "ç" !

j'espère néanmoins que cela ne perturbera pas trop votre lecture...

Les pages "photos" de Yahoo n'existant plus, beaucoup de liens sont inactifs. Je vais chercher une solution avant de les effacer.
Je regrette la mise en page de l'époque, mais c'est comme ça les blogs ne sont pas des sites. Les sites demandent plus de temps.
Autre temps, autre solution.

Bon voyage

Nat

65_16/07/2006 14:43 - C'est beau la Mongolie

C'est beau la Mongolie

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Que dire de plus, je m'y plais. Je viens de passer une semaine dans une famille du Parc de Terelj pas tres loin d'Ulan Bator avec une famille de Mongols qui m'a accueillie et montrer plein de choses, les enfants surtout.

Une semaine de repos meme si bien occupee quand meme entre les siestes, les jeux avec les enfants, les balades a la riviere (glacante !), la traite des vaches (je ne suis pas aussi efficace qu'eux), les remplissages des gericans d'eau, les exercices d'ecriture en cyrilique mongole et l'apprentissage (minimum) de la langue mongol (il reste du boulot)... tout ca fait un passage tres touchant dans un endroit que j'ai deja envie de revoir.

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la vie s'ecoule entre s'occuper des animaux, faire a manger, manger, faire la vaisselle, le menage ou la lessive, jouer et faire la sieste... enfin a peu pres.


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et en plsu c'etait Nadaam, la fete annuelle, celle qui celebre plein de choses mais a savoir si c'est Gengis Khan, la creation de l'etat Mongol il y a 800 ans, la revolution quand les russes etaient la, ou simplement le plaisir de faire la fete concourirent et boire de la vodka... je ne sais pas, mais personnellent  je prefere la derniere solution.




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64_03/07/2006 04:55 - En voiture, s'il vous plait !

En voiture, s'il vous plait !


C'est parti. Je zappe un peu sur Pekin en travaux pour les JO de 2008, la grisaille et la pollution car entre temps... j'ai pris LE TRAIN.


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Le Train Pekin - Ulan Bator, plus de 30 heures de voyages a travers des paysages aussi incroyables que magnifiques et le soleil a l'arrivee.

Je me demande si j'avais vu le soleil depuis le Japon. Deja que la il etait souvent cache, je ne vous raconte pas la joie et la bonne humeur retrouvees.

Je me ratrapperais un autre jour pour les recits sur la Chine... je ne suis plus a ca pres pour le retard. D'ailleurs c'est normal en Mongolie, il parait. Le train avait 1 ou 2 heures de retard mais c'etait tellement beau qu'il aurait pu en avoir plus encore sans que ca me gene.


63_21/06/2006 12:33 - Du centre de la lune, au centre de la chine

Xi'an, le 21 juin 2006.

De Yangshuo, et ses
belles montagnes dont Moon Hill,


Je ne suis pas passee a Longji. Il s'est mis a pleuvoir alors les rizieres sous la pluie, dans la brume et le brouillard, c'est moins bien. Je suis partie directement a Xi'an visiter l'armee de terre cuite pluisieurs fois millenaires.


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Et c'est quelque chose ! Je peux vous le dire.

62_12/06/2006 03:01 - Du riz, des rizieres et des montagnes

Yang Shuo, le 12 juin.


Je suis arrivee a Yangshuo dans des paysages du genre de la Baie d'Along, facinant.  Le train chinois qui m'a emmenee de Shenzhen a Guilin fut tout un programme que je vous detaillerais plus tard.

J'hesite entre aller dans les rizieres en terrasse, a Longji, de l'autre cote de Guilin ou prendre le train directement pour Xi'an et son armee de terre cuite.


Je commencais a fatiguer lorsque j'ai renconter plein de gens. Une anglaise et une americaine avec qui j'ai ete faire un tour dans la lune (une des attractions du coin s'appelle Moon Hill et de la haut on a supberbe vue) Et un couple d'amis sino-australien qui m'ont donner leur coordonnes a Pekin pour que je passe manger des nems avec eux... Miam !


Hier, soir je me suis offerte une folie, un son et lumiere a propos des minorites locales, de Zhang Yimou. Oui le meme que “Epouses et Concubines” et aussi celui qui fera la ceremonie d’ouverture des JO de Pekin。。。 
6 a 800 participants avec le lac comme scene et les montagnes comme decor... Impressionant, haut en couleurs, mais tres cher pour les chinois.


Aujourd'hui.  nouveau tour a velo, pour profiter du coin sans les tres nombreux touristes chinois, demain retour a Guilin.

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61_07/06/2006 16:43 - Hong Kong, sans plus

En gros et pour resumer, je n'aime pas Hong Kong.


Je m'y perd et j'aime pas me perdre (ce qui est tres different d'errer).
Je n'y vois que du shopping et des centres commerciaux et j'aime pas faire les magasins.
Je n'y vois pas l'horizon et c'est ce qui m'aide a me diriger.
Et en plus quand il ne pleut pas a en faire des inondations (le lendemain de mon arrivee) et il y a la clim' qui me donne la chaire de poule !


Mais il y a de belles choses quand meme. 

Le bouddah geant, 26m sans le socle ou 35 avec, meme dans le nuages et le brouillard, il est impressionnant. Les peites echoppes ou un vieux monsieur ou une vieille dame reparent les papaluies, vendent des offrandes pour les temples en meme temps que d3s jouets ou je ne sais quoi qui n'a rien a voir, un sculpteur qui reste sur le pas de sa porte au milieu des plantes et de ses creations. Les poissons qui sechent a Tai O, les maisons sur pilotis de Tai O.

Les trams centenaires et a deux etages de la ville, le tramway pour monter et surtout pour descendre du Victoria Peak, les droles de ferry qui traversent vers le continent et sont la eux aussi depuis tres longtemps.

Le son et lumiere qui est la seule raison valable a mes yeux d'avoir autant de grands immeubles sur le port.


Avec tout ca le sejour  n'a pas ete si horrible surtout que la bibliotheque centrale m'a permis pas mal de chose sur  internet dans un endroit sympa et reposant.


Et puis de Hong Kong on peut aller faire un tour a Macao, Maaaacao, Ma-ca-o !

Et que la c'etait plus sympa. Mais c'est pareil ca sera pour une autre fois.


Demain, 8 juin, je pars pour "mainland" Chian comme on dit ici. A l'autre bout du continent Europe-Asie avec des trains qui me separe du retour... et quelques pays qui m'attendentt, enfin, que moi j'attend !

60_07/06/2006 16:18 - Japon, un appercu

Japon, du 13 au 30 mai 2006.

Trajet : Tokyo - Nagoya - Ogasaki - Kyoto - Tokyo - Peninsule d'Izu / Ito - Tokyo


Un resume, pour ne pas perdre les infos avant de les renvoyer en france

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La suite par la ...>



Voici un resume, pour ne pas perdre les infos avant de les renvoyer en france


Tokyo avec toutes ces choses etranges qu'on a jamais vu ailleurs et sous la pluie :
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Shibuya avec ses pedestrians' crossing IMMENSES.

Le Cos-play-zoku ou s'habiller bizarre le dimanche pour se re-lacher de la semaine.

Shinjuku forcement puisque Kuni habitte proche.

Ueno parc avec tous ses musees, attractions et sans abris.

Tsuikji marche aux poissons.

Tokyo National Museum.

Asakusa avec son temple Senso-Ji  et son marche.

Les utilisateurs de Keitai qui ne font plus de bruits mais dont la vitesse de frappe de sms est incroyable, en japonnais de surcroit !

La petite lampe que Kuni m'a remise la premiere nuit en me disant "il faut toujours que tu es une lampe avec toi en cas de tremblement de terre"...

Les Onsens et surtout le Rotenburo de la peninsule d'Izu.

L'aeroport de Narita ou j'ai dormi la premiere nuit.

Shinjuku gyoemmae, le jardin a cote de chez Kuni avec ses grands espace et sa serre d'il y a un siecle (ou deux).


Et puis Kyoto :


Le Chemin de la Philosophie le long du canal, comme le faisait tous les jours le professeur de philo en l'honneur de qui cce chemin a ete nomme.

Les temples qui s'y trouvent Ginkakuji le pavillon d'argent et son jardin, Honen-in dans un sous bois, Nyakuoji Shrine un les temple Shintoiste, Eikando Temple, puis  apres un arret dans un resto traditionnel de tofu, le dernier de la journee, le Nanzenji Temple avec toutes ses exetentions ; jardins, parc, tour, porte et viaduc, etc... tres belles, mais inegales mis a part qu'elles sont toutes payantes... pas donne a la fin de la journee.
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Soiree a Gion a chercher les Geishas ou plutot Geikho et Maikho (les apprenties) comme on dit ici.
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Le Toji-to et son marche mensuel. Ils m'ont pris une journne entiere.
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Le Nijo Castle avec son plancher rossignol, quand on marche dessus, il chante !


Le pavillon d'or, magnifiique meme sous la pluie et malgre tous les touristes !
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Le Kyumizudera avec ses fontaines et ses deux pierres d'amour.

Et un dernier dont je ne retrouve pas le nom, connu pour ses deux connes a l'entree, representant la descente des dieux sur terre... ou un truc du genre.


Pour les details... ca sera un autre jour.
Tout comme la visite au musee Ghibli.

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59_04/06/2006 13:45 - Honk Kong, relache

Hong Kong, 5 juin.

Apres avoir passer 1 heure a attendre de deposer mon paseport pour l'obtention de mon visa pour "mainland CHina" commne on dit ici. Je me retrouve a la Central Librairy (bibliotheque principale) de Hong Kong ou je peux passer tout le temps que je veux sur le net.

J'ai donc mis en ligne les albums photos que j'avais prepares chez Kuni pendant que le site etait en panne. Mais toutes les photos n'ont pas de legendes.


En effet, je commence a en avoir un peu assez de mon retard et je prefere mettre des choses "pas-finie" que de continuer a accumuler le retard. Surtout qu'en plus, ca me donait de moins en moins envie de travailler sur mon site. Donc, maintenant, ce sera comme je le sens, a savoir que l'ordre chrono-logique ne sera respecte que dans le menu a gauche.

Et c'est tanpis !


En attendant, aller jeter un oeil au lien "mes photos" et la ligne "tous mes albums, toutes mes photos" Vous ne devriez pas etre decus... meme sans les legendes :-)


 

58_31/05/2006 00:23 - Zut, mon velo !

Et pendant ce temps la a Marseille, y'a quelqu'un qui s'est barre avec mon velo ! Snif !!

C'est sur c'est pas le velo de JM qui fait le tour de l'Amerique du sud avec le sien, ni ceux d'Yves et Marie qui sont partis il y a quelques semaines pour la Turquie en passant par le Forclaz, le Galibier, le Telegraphe, l'Izoard et qui doivent bientot passer le plus haut de France, La Bonnette a 2805 m... avec leur charette a l'arriere.

Mais quand meme, je l'aimais bien mon velo de "Dame" avec son panier devant pour faire les courses et ses vitesses pour monter les colines de Marseille.

Alors si quelqu'un entend parler d'un velo pas trop mal pour dans 2 ou 3 mois, a peu pres, je suis preneuse (natakwet@yahoo.fr).
Pas cher... parce qu'une chose est sure, j'aurai plus de sous !

57_23/05/2006 13:21 - L'Australie

Australie, du 17 avril au 13 mai.

Trajet : Adelaide - Alice Spring - Uluru - King's Station - Alice Spring - Melbourne - Sydney - Port Macquarie - Brisbanne - Cairns - Atherton Tablelands / On the Wallaby / Yungaburra - Cairns - Grande barriere de Corail / Cairns.

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Partie le 13 mai d'Australie, nous sommes aujourd'hui le 5 juin et entre temps j'ai visiter le Japon, atterrit a Hong Kong et fait un tour a Macao. Le temps passe vite.

Ecrit a Hong Kong, le 5 juin.


Arrivee a Adelaide ou j'ai passe deux jours avant de prendre le vol suivant pou rAlice Spring. La, je suis partie avec Wayward Tours vers le Red Center et ses sites sacres Aborigenes, Uluru

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et Kata Tjuna et d'autres lieux et curiosites dont King's Canyon et Dinky le singing Dingo. C'etait un groupe d'une quinzaine de peronnes avec une guide qui s'appelait ... Nataly !
Le vol suivant m'amena a Sydney avec une escale de 6 heures a Melbourne. Puis j'arrivais juste a temps pour le dernier ferry pour Manly grace a Robert et son chauffeur. Pascale m'attendait de l'autre cote. Grace a son hospitalite, ses bons petits plats et son bon vin, je me sius reposee de toutes ces voyages, visites, trajets et deplacements longues distances, et ca fait du bien !

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Au bout d'une bonne semaine, je suis repartie pour Port Macquarie et rencontrer Lucy and her boyfriend Michael, qui etaient en plein demenagement. Mais grace a elle, j'ai pu voir de pres des Kangouroux, des Koalas et des Wombats.

Puis ce fut un autre bus de nuit, (il y avait longtemps !) qui m'embarqua jsuqu'a Brisbane, ou je suis tombee par hazard dans le meme backpacker que Pat et Aurore, rencontes a Wanaka, Nouvelle Zelande, et Laurent un de leur pote. Nous avons visiter la ville qui contrairement a ce que certains d'entre nosu pensais, n'est pas en bord de mer.
Le lendemain, j'ai pris l'avion pour Cairns d'ou je suis partie "on the Wallaby"*, a la recherche des ornythorinques et autres bestioles bizarres... que j'ai trouve grace a Paul et Scott qui chacun leur tour nous on balader dans le coin. Groupe encore plus sympa qu'avec mon homonyme, et surtout beaucoup plus petit ce qui y fait beaucoup. On etait 5 le second jour pour la balade en kayak, c'etait reve. Superbe, ma partie preferee de mon sejour en Australie, avec le soleil levant sur Uluru et les ombres chinoises avec Luca. Sans compter le Australian BBQ de Paul et Barbara, et les bonnes rigolades, trop bon ! (pub : http://www.onthewallaby.com) * ca eut dire "on the road..." 

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Je serais bien restee plus longtemps mais d'une part j'avais reserve une journee sur la Grande Barriere de Corail, et d'autre part mon avion pour Tokyo partait le surlendemain.
Je suis donc repartie pour Cairns, avec plein de bons souvenirs, pour aller faire un tour sur un catamaran sans voile pour cause de gros temps (au moins pour les touristes) et deux plongees en bouteilles mais sans grande visibilite (5m) qui m'ont tout de meme permis de voir plein de belles choses, un requin Black Tip, deux raies, quelques poissons clowns (connus sous le nom de Nemo maintenant) et pelin de coraux souples, dures, et vivants !
J'ai aussi fait une belle crise de panique en rigolant grace a un concombre de mer qui m'a fait avaler autant d'eau que d'air. La plongee ce n'est pas naturel et si en plus on ne peut pas rire, ca ne me va pas !!

Puis ce fut le depart avec re-edition a l'aeroport de mon billet car on avait perdu le troncon Tokyo / Hong Kong a la reimpression de Tuscon... Du coup, je n'ai pas visite la Mangrove de l'aeroport. C'est comme ca, j'en ai vu d'autres des mangroves et il y en a a nouveau a Hong Kong.



56_23/05/2006 12:30 - NZ, Ile du Nord

 Nouvelle zelande, ile du nord, du 6 au 17 avril 

Trajet : Picton - Wellington - Taupo - Rototura - Whitianga - Coromandel - Aukland.
  
  En resumé : J’ai pris le Ferry un beau jour de vent et ai attrappe quelques petits coup de soleil. A Wellington le vent et la puie m’attendaient. J’ai visité le Musée National de Té Papa et j’y suis même retournée le lendemain avant de me dire qu’il me restait peu de temps avant l’avion pour Adelaide. Alors j’ai traversé l’ile du Nord pour voir ce qui m’interressait le plus dans toute la Nouvelle Zélande, la Culture Maori. Pour cela je suis restee sutout a Rotorua parmis les fumeroles du village de Te Puia, gouter le Hangi, pris des notes sur le Weaving et la Sculpture, visiter le musee et rendu visite aux Kiwis avant de continue sur Whitianga ou j’ai appris a scultper l’os et admirer le soleil levant avant de repartir vers Aukland , me reposer chez Frank, Lynn, leurs enfants et toute la famille. 

   
     
pour les photos, faites un clic droit au-dessus et ouvrez dans une nouvelle fenetre pour grder le recit ci dessous

 

Le ferry fut bien agreable car il offrait une tres belle vue des Malborouh Sounds que je voulais visiter en passant en voiture mais que la meteo et le temps ne m’avaient pas permis d’apprecier a leur juste valeur. Pendant presque une heure sur deux heures et demi de traversee, le ferry se trouve dans les fjords. Ensuite il traverse le detroit de Cook pour entrer dans la baie de Wellington. Un voyage reposant et tres beau.
  
  Wellington est constament dans le vent. Certains sont content d’enfin pouvoir aller boire un verre apres 17h, j’ai fait le musee. Té Papa propose la visite autant de ses sous-sol revolutionaires contre les tremblement de terre que de l’histoire animale de cet etrange pays. L’histoire Maori aussi y est presente mais j’avais prefere ce que j’avais vu a Aukland, sur tout le pacifique et son peuplement par les Polynesiens. En expo gratuite sur le port on pouvait voir les "fameuses" photos de Yann Artus Bertrand qui parcourent la terre plus vite que moi. Au bout de deux jours je me suis dit que je risquais de rester trop longtemps surtout que je recommencais a croiser des voyageurs deja vus ailleurs.
  
  On m’avait dit que l’autostop pour sortit de Wellington, etait complique et decourageant la plupart des gens rentrant dans leur banlieue. Aussi j’ai pris une navette-bus pour Taupo, la ville des sports extremes de l’ile du Nord. Tout le trajet s’est fait sous la pluie. A l’arrivee les backpackers etaient plein car cela faisait trois ou quatre jours que tous ceux venus essayer le parachutisme, la chutte libre en etaient pour leur frais. N’ayant pas envie de tenter le coup comme ca, je me suis contentee de faire un tour sur le lac
  La j’ai pu voir des sculputures Maoris assez recentes mais impressionantes vue leur taille. Puis j’ai ete voir les chutes d’eau du coin, Huka Falls fait une balade dans un champs de fumeroles, Craters of the Moon et pris le bus pour Rototura car il pleuvait au moment de la reservation que je n’ai pas voulu tenter ma chance en Auto stop. Domage, car le ciel s’est tranquillement mais surment eclaricit apres notre retour de mauvais temps en mer, enfin sur le lac Taupo - deuxieme plus grand lac dans l’hemisphere sud. Les cailloux y flottent car ce sont des pierres volcaniques, Je me suis bien amusee avec.
   
  A Rotorua, l’air sent beucoup le souffre pour cause de geysers, fumeroles et autres rencontre direct avec l’ecorce terrestre. C’est l’endroit de la planete ou celle-ci est la pus fine. On peut voir des traces d’activites volcanique, generalement des geysers de boues, un peu partout en ville. Ce qui fait cette odeur a laquelle on a l’impression de s’habituer mais qu’on est bien content de quitter tout de meme.
  A Rotorua j’ai enfin pu apprendre des tas de choses sur la culture Maori. C’est ainsi que j’ai compris mon erreur sur la visite de la Nouvelle Zelande ; c'est la que j’ai decouverts que ce qui m’interresse plus, encore qu’un beau paysage c’est d’etre confronter a la culture locale. Et les Maoris, pas fous, sont implantes dans l’ile du nord car il y fait pus chaud... Malheureusement, je ne savais pas tout ca avant. Domage.
  Donc j’ai visite au pas de courses, en trois jours, ce qui m’attirait le plus.
  J’ai visite le musee. J’ai admire le terrain de petanque, au cordeau ! La partie du jour etait finie.
  J’ai visite le village de Te Puia avec ses ecoles de sculptures et de tissages de flax, son hangi (repas traditionnel), ses sources d’eau bouillante pour faire la cuisine et quelque autres usages, ses geysers, et son show de chants et danse avec un Haka ! Certes c’est reconstitue, mais la sculpture, le tissage et les chants et danses tiennent toujours une place tres importante dans la vie de tout les jours des Maoris alors ca ne fait pas « zoo ». La societe Maori est separee d’un cote les femmes qui tissent ou font la cueillette, l’autre les hommes qui sculptent ou font la chasse. J’ai pu voir ma guide nous faire une demonstration de preparation de flax, puis comme je partais un autre guide, un homme, expliquait que les sculptures servent d’aide memoire pour des histoires et legendes dans lesquelles les Maoris baignent tous depuis leur plus tendre enfance. Comme exemple il nous demandait a quoi penseriez vous si vous voyiez une sculpture d’une petite fille avec une cape
 rouge, son panier a la main et le loup dans le fond*... J’ai besoin de vous donner la reponse ? et bien ca marche pareil pour eux.
  J’ y suis arrivee vers 11h on m’a un peu mise dehors a la fermeture vers 17h.
  
  Le lendemain j’ai ete recontrer les Kiwis. Ceux avec leur fausses ailes et leurs pattes si costaudes qu’ils peuvent se defendre contre les predateurs introduits par l’homme depuis son arrivee sur ces iles. Car le Kiwi a perdu l’usage de ses ailes comme il avait perdu ses predateurs avec la derive des continents.
  
  Apres cela il me restait juste le temps de prendre le bus pour aller a Whitianga (prononcer Fitianga en Maori, le WH se pronnonce F) ou je savais pouvoir trouver un beau backpacker sur la plage pres d’un lieu ou je pourrais apprendre a sculpter les os meme si je suis un femme (ah !) et aller visiter les bains chauds sur une plage toute proche. J’ai pu apprecier un lever de lune sur ciel bleu et pins de Norfolk, la specialite des palges du coin et le lendemain, un lever de soleil brumeux sur la baie de Whitianga. Des moments parmis les plus tranquilles de mon sejour en nouvelle zelande, avec le calme et le soleil. Avec a voiture de location que j’ai pris pour pouvoir tout faire, j’ai pu pousser jusqu’a Coromandel dont on m’avait vanter les merites et vu un couche de soleil sur la baie de Coromandel de l’autre cote de cette petite peninsule paradis des Kiwis avec  ses "kiwi Zone".
  
  Puis le lendemain matin, je reprenais la navette pour Aukland et retrouver Frank, Lynn et toute la famille, les enfants Raoul et Keeva, les grands parents Denise et Ralph et meme l’arriere grand mere est passee le jour de paques. Ce fut deux jours de repos avec balade a la plage et preparation de mon sac. Ne rien faire, ne rien visiter, meme pas prendre en photo le « ducks crossing » sur le chemin de la plage... ca fait du bien aussi. Merci a eux de m’avoir offert cette possibilite un peu difficile a avoir en backpacker.
  
  J’ai pu aussi parler de plein de sujet de societe sur la Nouvelle Zelande avec Lynn dont la Pauvrete : C’est a Wellington que j’ai vu les premiers " homeless " de Nouvelle Zelande, jusque la une question me derangeait beaucoup " ou sont les pauvres ?" Je ne serais pas expliquer mon sentiment, j’avais l’impression qu’ils etaient caches ou parques tellement tout est propre partout. Je suis malheureusement persuadee qu’une societe, surtout de consomation, a "besoin" de ses pauvres et meme avec ses 4% unemployement, la NZ ne pouvait echapper a ses exclus. Lynn m’a precise que ces 4% comprennent aussi ceux sans travail pour cause de sante. Je ne sais pas quel serait notre chiffre "d’unemployment" (sans emploi) si on utilisait les meme baremes pour nos propres statistiques...
  
  Les animaux :
  Partout en Nouvelle Zelande on peut croiser de drole de bestioles. Les premiers qu’on aimerait voir sont bien sur les Kiwis mais en attendant d’en croiser en vrai en chair et en plumes, on peut voir les Pukekos ou canards bleux, les opossums souvent ecrases sur le bord de la route et quelques keas dans les montagnes.
  
  Les Kiwis :
  Ca fait donc tres longtemps qu’il y a des kiwis en nouvelle zelande et comme chacun sait, il n’y en a que la. dans le tour on nous explique qu’un kiwi est a peu pres gros comme un poulet, mais pour les voir il faut soit avoir de la chance car ils dorment le jour entre 18 et 20h par jour et en plus ils sont tout brun, caches dans les forets et ses fourets et donc, c’est franchement dificiles a voir. J’en ai vu trois, en vrai, devant moi. Un de 4 mois, qui levait son nez-bec vers moi mais a decider que je n’etait pas un vers et est reparti chercher sa pitence plus loin, un de un an blesse qui ne pouvait plus rester dans la foret et une de 40 ans qui ne pouvait plus porter d’oeuf sans risque pour sa vie. Je peux vous dire que c’est plus gros qu’un poulet moyen et que ca cours vite et tout le temps...
  Ce qu’on ma appris d’autre c’est que la femelle porte un oeuf pendant un bon moment (j’ai oublie !) puis, epuisee car ne pouvant plus se nourir vu la place que l’oeuf prend en elle (cf. photo d’une radio http://fr.pg.photos.yahoo.com/ph/natakwet/detail?.dir=ffa7scd&.dnm=a2f3scd.jpg&.src=ph voir les photos 45 et 46 de l'album NZ Ile du Nord), elle refile l’oeuf qui fait environ 20% de son poids a elle, au male qui va le couver pendant qu’elle part reprendre des forces et faire un autre oeuf. Elle peut en avoir 4 ou 5 dans l’annee. Normalement, le male couve l’oeuf pendant 60 jours, jusqu’a l’eclosion, puis une dizaine de jour le temps d’etre sur que tout se passe bien puis laisse le petit se debrouiller tout seul. Dans le cas present, les males, sont suivis avec un truc genre gps ou balise argos miniature, puisqu’ils couvent on repere les oeufs dans la nature et on les apporte au centre ou on les prendra en charge jusqu’a ce qu’ils arivent a leur 6eme mois, age auquel ils peuvent utiliser leurs serres contre les chats,
 furets, rats et autres trucs de ce genre.
  Ainsi la popultation de Kiwis qui etaient en danger de disparition commence a reprendre un peu du poil de la bete. Des lieux sont amenages en « Kiwis Zones » ou des pieges sont places contre les predateurs et ou il est interdit de penetrer avec un chien ou un chat... Interresant. J’ai vu un 4eme kiwi, derriere une vitre car il n’avait que 1 mois / 472 grs. Ca derniere pese, sous nos yeux, a monte qu’en un jour il avait pris presque 100 grs, mais on l’a vu aussi se debatre pour eviter d'etre deranger et mis a la lumiere@et ses pattes sont effectivement tres fortes meme a cet age la.
  Pour en savoir plus :



 www.savethekiwi.org.nz/BNZKiwiRecovery/OperationNestEgg

   
  Les opossums, eux n’ont pas la vie facile. Importes d’australie pour leur fourure, ils se sont multiplies a vitesse grand V puisqu’ils n’avaient pas de predateur en Nouvelle Zelande. Alors que certaines sortes sont en voie de disparition en Australie, en Nouvelle Zelande, on aimerait bien qu’ils le soient aussi. En effet, ils grimpent au sommet d’arbre millenaies et les bouffent ! Ca e fait pas du bien a leur image de marque surtout qu’ils ont aussi partie de la liste des predateurs des Kiwis... Du coup une des grandes blagues NZ est "why did the possum cross the road ? " "to meet his flat mate" intraduisible "flat mate" voulant dire co-locataire ou "copain plat". J’en ai vu un la nuit au volant et j’ai fait attention a lui, j’ai meme esayer de le prendre en photo mais on ne voit pas grand chose.
  
  Les Pukekos sont mes favoris, une sorte de volaille haute sur pate et avec des plumes noir et d’un beau bleu fonce. Leur bec orange faisant ressortir ces couleus combres. Mais j’aime surtout leur demarche faite de grands pas plutot tranquille se transformant en pas de course lorsqu’on s’aproche trop d’eux.


*-*-*-*-*-*-*

*: pour ceux qui n'auraient pas trouve, c'est le petit chaperon rouge !

54_04/05/2006 12:26 - Rien a voir, Léonard !

Rien a voir sauf qu'il est trop 'gnon !

alors voici une photo de Léonard a l'age de 10 jours. une Grosse Bise a Toute la famille ;-)

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Leonard est ne pendant que j'etais a Alice Springs en plein Red Centre. Il est ne le dimanche 23 au soir, sauf que pour moi a l'autre bout du monde c'etait deja lundi matin...

55_22/05/2006 15:07 - Ca remarche !!!!

Merci a Steph, le site remarche...

J'ai toujours ma manip speciale a faire pour creer de nouvelles pages mais au moins je peux les creer ! Ouf !!


Aujourd'hui 22 mai a Kyoto, il faisait beau. Je me suis baladee en velo et j'ai vu plein de temples, shrines (temples shintohistes), jardins et meme ... des Geishas et leurs apprenties. Ici a Kyoto on dit Geikho et Maikho.

Voila demain soir je reprend le bus de nuit pour Tokyo rentrer a temps pour visiter le Musee Ghibli avec ses Totoro, Chihiro, Mononoke, Kiki et quelques autres, mais pas de chat-bus... je le sais deja... je suis trop vieille !


A bientot pour de nouvelles aventures

53_18/04/2006 04:11 - Cartes Postales

Puisque la version informatique a des bugs et qu'il pleut un peu trop dans cette partie soit disant des plus arrides au monde qu'est Adelaide, je vous propose quelques envois de cartes postales. Malheureusement je n'ai pas toutes vos adresses (postale) meme si pour certains je sais me rendre chez vous... Alors si vous souhaitez avoir un petit coucou de l'autre bout du monde faites moi parvenir vos adresses (postales) sur natakwet@yahoo.fr 

Idem pour les inconnus qui visitent mon site mais ca prendra peut-etre un peu de temps...
et ce ne sera que les jours de pluies ou d'aeroport...

52_17/04/2006 10:51 - NZ, L'ile du Sud, suite

Nouvelle Zélande, du 4/5 mars au 6 avril, 2006 :
 
Tajet : Ile du Nord / Auckland - Ile du Sud / Christchurch - Akora - Bank’s Péninsule - Christchurch - Timaru - Oamara - Moeraki - Dunedin - Péninsule d’Otaga - Southern Scenic Road - Milton - Curio Bay - Invercargill - Bluff - Monkey Island - Manapouri - Te Anau -  Milford Sound - Queenstown - Wanaka - West Coast - Punakaiki - Motueka - Blenheim - Kaikoura - Akaroa - Christchurch - Kaikoura - Blenheim - Picton.

En résumé :
Arrivée à Auckland plus grande ville du pays, j’ai pris un avion pour être au plus vite dans l’île du sud avant que l’hiver n’attaque. De là, j’ai loue une voiture pour faire le tour de cette île, plus inhabitée que sauvage a mes yeux, où un cyclone m’a poursuivie pendant les trois semaines de ma visite. J’ai suivi la cote de Christchurch aux Catlins, remonté vers Te Anau, passer une nuit au Milford Sound, aperçu les nuages des Remakables et filé sur Lake Wanaka pour faire une halte de quelques jours avant de reprendre ma course vers la West Coast, le Parc Abel Tasman, le Fench Pass, Blenheim et retour sur Akaroa et finalement Christchurch avant de remonter en stop vers Kaikoura, ses baleines, dauphins et albatros puis prendre le ferry a Picton.



Petite introduction.
La Nouvelle Zélande comme beaucoup doivent le savoir se compose de quelques îles (Ile du Nord, Ile du Sud, Ile Stewart et quelques autres toutes petites mais parfois volcaniques et actives) et possède quelques particularités qui en font un petit pays très diversifié, voire étrange quand on pense que ce sont nos antipodes, 12 h de décalage horaire et longitude/latitude inversées ou presque. C’est le pays au sous sol le plus actif ; il se trouve a cheval sur deux plaques tectoniques qui semble-t-il, bougent souvent. Personnellement je n’ai pas senti le sol bouger. Ensuite ces îles se sont séparées des autres continents il y a tellement longtemps qu’elles n’étaient guère habitées que par des bestioles étranges venant en direct de la préhistoire. Ce qui a fait que certains oiseaux, n’ayant plus de prédateurs, ont perdu l’usage de leurs ailes, mais on en verra ça plus tard. Maintenant, ces îles sont peuplées d’environ 4 millions d’habitants dont presque la moitié se trouve à Auckland sur l’île du Nord, un autre million sur le reste de cette même île et un dernier million sur l’île du Sud. Je crois qu’il y a 11 fois plus de moutons… mais c’est à vérifier. La langue principale est l’anglais mais officiellement le pays est bilingue anglais/maori. Je suis arrivée la veille du recensement national, du coup j’ai répondu à un questionnaire me demandant quel était mon "iwi", quels étaient mes ancêtres, depuis quand j’étais là, quelle langue je parlais, où j’habitai… etc.
Tout le monde au backpacker devait y répondre. Et j’ai trouvé les questions différentes des recensements francais.


Nouvelle Zélande, 1ere  partie, Ile du Nord, du 4 mars au 6 avril.
Partie de Tahiti le samedi, je suis arrivée à Auckland le dimanche pour cause de ligne de changement de date. Auckland proposait une telle différence avec les îles pacifiques et l’Amérique du sud, que je me suis pris un choc culturel en pleine face. Dans cette grande ville qui me faisait penser a la City de Londres avec ses magasins partout "ouverts même le dimanche"… les deux anglais et le couple de français avec qui j’avais fait le voyage depuis Tahiti restaient inaccessibles à d’autres étages du backpacker géant dans lequel nous avions trouvés des chambres, je me sentais perdue. Du coup j’ai décidé de partir au plus vite vers le sud et son cote sauvage que tout le monde me ventait depuis des semaines et des mois de voyage.
Avant de partir j’ai pu faire la connaissance de Frank et Lynn des amis de Didier et Françoise a Villiers le bel. J’ai été accueillie par toute la famille pour une soirée éclaire avant de prendre l’avion pour Christchurch. Soirée bien sympa où se mélangeaient français et anglais avec plein d’accent différents et goûter les moules locales vertes et géantes ! Cuisinees par Frank, miam.
Arrivée à Christchurch, la ville était redevenue à des dimensions plus habituelles pour moi, les immeubles ne faisaient plus qu’un étage ou deux ce qui me rendait la vue du ciel à laquelle je me suis bien habituée.


La route : de la conduite à gauche, l'état des routes et des voitures, les signes sur le bas-côté, à la voiture et son mode d’emploi.
J’ai donc loué une voiture, une Toyota Starlett a boîte automatique car la conduite à gauche me semblait déjà un défi, je ne comptais pas en plus ajouter les vitesses à passer avec la main gauche. Je pensais partager les frais avec quelques autres backpacker mais la demoiselle que j’ai embarquée s’est vite défilée en disant qu’elle ne pouvait pas conduire sans permis international, elle m’a aussi tapé sur les nerfs en ne se levant que vers 13h après avoir passer sa nuit a regarder des films jusque pas d’heure dans la nuit… A part ça elle était sympa. On s’est bien amusées en appelant l’assistance 3 ou 4 fois pour un pneu crevé.
Un camping car arrivait dans le sens inverse et sur ma portion de route vu le nombre de voitures garées sur son coté de la route, du coup j’ai eu peur, pas l’habitude de voir un véhicule me foncer dessus de ce coté la, j’ai explosé un pneu et à l’arrivée, on s’est rendue compte que le deuxième aussi était à plat. Total : deux pneus neufs.
La première fois qu’on a appelé je ne savais plus où chercher le pneu de secours (le mode d’emploi était tout en japonais…), la seconde pour leur dire qu’on l’avait trouve mais qu’on ne pouvait pas le sortir de la car le lecteur CD était fixe de tel manière que le pneu était coincé, la troisième fois pour leur dire que des jeunes gens sympas nous aidaient à sortir le pneu et même à le mettre en place et la quatrième fois … parce que la batterie était tombée à plat entre temps !
Une fois cet épisode passé je n’ai plus eu de gros problème avec la conduite à gauche. Il suffisait qu’une ligne blanche soit tracée au sol pour que je me rappelle bien de l’avoir à ma main droite et si en plus une autre voiture était sur la route c’était parfait, ces repères me suffisaient. Mais je dois reconnaître qu’une fois ou deux a la sortie d’un parking je me suis retrouvée face à une voiture sur la mauvaise file… mais de loin. Une fois a leur hauteur, je pouvais voir la tête des gens qui me regardaient comme une cinglée !
La route était assez fatigante car il y a beaucoup de virages mais surtout car le revêtement est de la matière qui fait les vieilles départementales chez nous et que le bruit qui s’en dégage est énorme. Parfois un endroit de la route a été "raccommodé" avec une autre matière et on peut goûter au silence quelques secondes. A d’autres moments la route laisse la place à une piste ou il vaut mieux rouler à 30 km/h si on ne veut pas avoir de problème. Heureusement que j’avais la musique sur mon Mp3.
Le long de la route on peut voir des tas de fléchage pour des lieux aussi divers que variés mais avec des intérêts différents. C’est ainsi qu’on peut visiter des chutes d’eaux ou des vieux ponts, des usines de fromage, un foret d’arbres millénaires ou une plage perdue.
Biensur il y a aussi les "crossing" ou "passage de…" en français, passages moutons, de vaches, de canards, d’animaux sauvages, etc... Mais le seul "passage de kiwis" que j’ai pu voir était dans l’île du nord.
Le week-end, dans les rues, on peut voir beaucoup de voitures briquées au plus haut point. On dirait que pas mal de néo-zélandais sont adeptes du tunning. Je n’ai pas fait attention si ce n’etait que des jeunes, mais dans Christchurch il y avait une ambiance "American Graffiti" étonnante. D’autant plus qu’il y a beaucoup de anciennes voitures toujours en état de marches. On m’a expliqué que cela venait du fait que les voitures étaient difficiles à avoir jusqu’à ce que les japonais et les chinais ne s’intéressent au marché. Mais les vieilles voitures ont l’ait d’être toujours appréciées.


Les animaux.
Ils y a les domestiques et les sauvages.
J’ai vu des moutons partout mais il y a aussi des vaches et des biches qui ont perdus leur statut d’animaux sauvages depuis qu’elles se sont trop développées et que leur chasse à l’hélicoptère est devenue moins rentable…
Pour les sauvages, j’ai adoré découvrir les Pukekos, ou canards bleus. Les Kéas dans les sommets enneigés voir glacés sont de drôles de perroquets qui aimeraient bien vous piquer votre sandwich…
Avant il y avait des Moas. De lointains cousins des kiwis, avec des ailes inutiles et des cous aussi grands que ceux des autruches. Les maoris les chassaient, le dernier a du être tué il y a un petit millier d’années. J’en ai vu un empaillé au Musée d’Auckland, il faisait bien 4 mètre de haut. A coté, le kiwi, lui est tout petit mais je ne l’ai vu que dans l’île du nord. Alors c’est pour plus tard.

Et puis il y a les Sanflies ; ces mouches des sables, si on traduit, sont infernales, elles trouvent tous les endroits pour rentrer dans vos vêtements et vous piquer, et ça fait mal, plus mal qu’un moustique ! La seule consolation c’est qu’elles sont plus lentes que les moustiques et qu’on peut en tuer quelques unes pour se venger, nah !

Les paysages traversés... et y'en a !
La Péninsule de Banks de la route des sommets
Ce soit disant "quartier français", est fait de deux coins de rue nommés avec des noms français et une "place de la poste" en français dans le texte. Cela n’empêche que le lieu est agréable, qu’à la bonne saison on peut y voir des dauphins et le petit musée est très intéressant. Pour y arriver on peut prendre l’ancienne autoroute construire pour les voiture à chevaux et les piétons, pas large cette route surplombe la péninsule et ses anciens cratère de volcan maintenant transformés en creek ou baie selon leur taille. La construction de cette autoroute avait commencée au début des 1900 et n’a pas été finie après la mort de son initiateur, en 1934. Il y a des arrêts très régulièrement toujours aménagées et toujours avec une superbe vue sur le paysage. Malheureusement ça fait partie des photos que j’ai perdues dans une mauvaise manip’.

Les Moeraki Boulders a marrée montante
De gros rochers ronds se trouvent sur la plage de Moeraki. Ces rochers étaient dans la dune qui longe la plage. Certains s’y trouvent encore. L’érosion les a roulés et usés à l’extérieur mais on peut voir qu’ils sont fait d’une autre roche a l’intérieur, dorée comme du miel. On dirait de grosses billes géantes posées sur la plage. La marée montante les entoure tranquillement alors que la marée basse forme des flaques à leur base où tout se reflète.
Avant il parait qu’il y en avait aussi des petits mais certains sont partis décorer d’autres lieux… involontairement dira-t-on. Ils feraient bien de faire attention avec les autres, il y a bien un Moai d’une tonne qui a disparu de l’île de paques.


La Péninsule d'Otago sans les Albatros
Apres avoir débarquée ma covoiturette je suis partie dans un coin tranquille, un camping perdu après une route a fleur d’eau le long de ce qui entoure la péninsule d’Otago. Il n’y que deux routes soit le long de la mer, soit par les sommets, les deux sont superbes, une à l’aller l’autre au retour. Au bout de la route la colonie des Royal Albatros. Le seul hic c’est que c’était la saison des petits et les adultes ne volent pas beaucoup à ces moments la. La colonie est visitée de l’autre cote de la falaise et si on ne vient pas aux bonnes heures on ne voit rien. Soit j’attendais dans le coin toute la journée pour qu’une place se libère dans une des visites guidées du centre, soit j’avais de la chance et les albatros décolleraient pendant que j’étais dans les parages, soit je repartais sans voir d’albatros. Ce fut la dernière solution… Je n’ai rien vu. Mais j’en ai vu plus tard, à Kaikoura. Avant de partir de là j’ai vu des lions de mer de très près et transporté un passager clandestin sur le toit de ma voiture. Ce qui a fait rire quelques touristes avant que je ne m’arrête pour voir ce qui se passait de bizarre au point qu’on ne me quitte plus du regard…


Les Catlins dans la grisaille
Les Catlins se trouvent vers la pointe sud de l’île du Sud. C’est une région presque inhabitée sauf par les moutons et ceux qui s’en occupent. Très venteuse car proche de la mer et "face" à l’Antarctique, les arbres y poussent de travers. Le temps n’y était pas fameux et même les locaux se plaignaient que cet automne ressemblait déjà à l’hiver. Mais la météo ajoutait au coté pittoresque des alentours. Les Catlins sont traversés par la "Scenic Road" de Balcutha à Fortrose qui vous invite à faire un détour de quelques kilomètres, voire quelques dizaines de kilomètres tous les 500m pour visiter un point d’intérêt local. C’est ainsi que j’ai découvert Nugget points et son phare, pic niqué à Kaka Point, raté la marée basse pour découvrir Cathedral caves, pris en photos les Punakaunui Falls les chutes d’eaux les plus photographiées de Nouvelle Zélande comme disait mon guide, guetté les pingouins à Curyo Bay, fait du camping sauvage a Monkey Island, marché au milieu des arbres millénaires de Dean Forest, et tant d’autres choses encore. Balades variées et magnifiques mais un peu solitaires à la fin, surtout à force de camper dans des endroits incroyables, reculés et déserts.
A la suite de ça, j’ai passe deux jours à Invercargill pour renouer avec la civilisation avant de reprendre la route vers Milford Sounds en passant par Manapouri, Te Anau et leurs lacs respectifs.

Milford Sound sous la pluie
Apres tant d’arrêts, j’ai roulé. Il y avait moins de choses d’indiquées que dans les Catlins jusqu’ à ce que j’arrive sur les lacs de Manapouri et Te Anau. Mais la route promettait d’être longue car appelant à de nombreux arrêts et à part les campings quasi sauvages du "Departement of Conservation" ou DOC il n’y avait rien entre Te Anau et le Milford sound lui-même. Alors j’ai roulé. Et bien sur, je me suis arrêtée pour prendre des photos, des Miror Lakes, des Kéas, des nuages qui envahissaient la vallée et qui bientôt allaient exploser. Ils ont craque juste comme j’arrivais au Sound. Je me voyais mal passer la nuit en camping mais il n’y avait plus de place dans le seul et unique backpaker du coin, à 200 km à la ronde… Heureusement une annulation m’a sauvée et j’ai pu dormir au chaud et surtout au sec. Le lendemain le soleil essayait de passer par-dessus les montagnes lorsque je me suis réveillée et j’ai vu les lumières et couleurs changer petit à petit pendant le mon petit déjeuner bien matinal. De là je suis partie me balader vers le sound, ou fjord, et j’ai découvert un lieu fait de montagnes plongeant directement dans la mer, le tout a marrée basse ce qui m’a permis de voir de plus près les chutes d’eau se déversant dans ce drôle de lieu. Comme je profitais et contemplais cette vue imprenable la marrée s’est jouée de moi et à commencer à remonter, j’ai du défaire mes chaussures pour traverser certains endroits que j’avais passé a sec quelques minutes plus tôt. Je regardais les cormorans se faire sécher au soleil, les bateaux partirent avec leur chargement de touristes et les kayaks filer tranquillement sur une eau tranquille.
En repartant tout aussi tranquillement vers ma prochaine destination, je me suis arrêtée plusieurs fois pour apprécier les merveilles aux alentours dont le Chasm. Une rivière doublée d’une cascade suis son cours mais la roche change pour une de ces pierres tendres dont j’ai oublie le nom. Des trous se sont formes par l’érosion, mais pas des petits trous, des trous énormes où se sont engouffrés des troncs d’arbres entiers. Malheureusement les photos ne rendent pas la force de ce lieu ni de cette rivière. Une fois que j’ai eu repassé le tunnel, les nuages étaient revenus.


Les Remarkables dans les nuages
Pour aller à ma destination suivante je devais passer par la ville la plus visitée de Nouvelle Zélande : Queenstown. C’est le lieu de tous les sports extrêmes. Le buggy jumping, saut à l’élastique le plus haut du monde, le rafting, le parachutisme… tout. Et d’autre que je ne connais pas. Mais c’est aussi la ville la plus cher de Nouvelle Zélande, enfin pour les touristes. Alors je ne me suis pas attardée, surtout que l’endroit intéressant à voir sont les Remarkables et que malheureusement pour moi ils étaient sous les nuages. Ils y étaient toujours le lendemain au réveil, vous pouvez même vérifier sur l’album photos…


Lac Wanaka sous le soleil
La route que j’avais prévue était un peu longue pour la faire d’un coup, je me suis arrêtée pour le déjeuner après seulement deux heures de route mais la vue était tellement belle et le soleil revenu que je n’ai pas pu résister. J’ai même pris une nuit dans un backpacker et je suis restée… 4 jours ! Ça m’a fait du bien. Tous les matins je me levais avant le check out et je demandais une nuit de plus en me disant demain je bouge, mais les repas en commun et les sorties avec Anita, Pat et Aurore et quelques autres me faisaient tellement plaisir que je n’avais plus envie de bouger. Et en plus, il y avait le cinéma de Wanaka… et King Kong que je n’avais pas vu et…, et…, et plein de choses qui ne vont pas dans la catégorie "paysages" que ce sera pour plus tard.


 

 

51_07/04/2006 13:29 - Une baleine pour les news, plouf !

Pour resumer, et verifier que ca marche comme ca (je passe les details), je suis a Wellington, capitale de la Nouvelle Zelande, another windy city apres Marseille et Chicago. Du vent, du vent et de la pluie qui laisse la place au soleil. Ca me rappelle quelque chose, mais le vent auquel j'ai eu droit aujroud'hui etait moins froid que le Mistral.

Voila, je met ce petit bout en ligne et je verrais comment faire pour la suite.
avec une image, c'est mieux...

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debut de plan avant la mise a jour complete...


La route
La conduite a gauche, l'etat des routes, les signes sur le bas cote, la voiture.

Les paysages traverses... et y'en a !

La Peninsule de Banks de la route des sommets
La Peninsule d'Otago sans les Albatros
Les Moeraki Boulders a marre montante
Les Catlins dans la grisaille
Milford Sound sous la pluie
Les Remarkables dans les nauges
Lac Wanaka sous le soleil
La West Coast a toute vitesse
Les Pancakes Rocks et Blowholes a marree haute
Abel Tasman bacle sous le ciel gris
La Canyon de Kaikoura et ses baleines
Picton et son ferry

La vegetation

Les animaux

Les Legendes Maori

Les pubs, les superlatifs et les prix

Mes debuts en auto-stop

Internet avec des pieces

L'anglais des kiwis

Peter Jackson, King Kong et le Cinema Paradis

Le coup de blues et comment je m'en suis debarrassee

Comment je ne referais pas ce que j'ai fait.


Ca fait beaucoup a ecrire et developper mais comme ca vous voyez que ca avance... un peu !



50_03/04/2006 02:39 - Les ratés du site

Le site a des rates, je ne peux plus faire de nouvelles pages comme je le faisais jusque la. Alors il n'y aura pas la mise a jour promise. Desolee.

Je vous donne mon itinieraire, histoire que vous cherchiez sur Google Earth, Mapmaker.com ou ou bon vous semble.

De mon cote, je cherche comment amenager la suite de l'histoire...
Si quelqu'un se sent de comprendre les messages codes de Mambo et veux bien me donner un coup de main, je suis preneuse ! Merci.



Nouvelle Zélande, du 5 au 2 avril, 2006 :

 
Tajet : Ile du Nord / Auckland - Ile du Sud / Christchurch - Akora - Bank’s Péninsule - Christchurch - Timaru - Oamara - Moeraki - Dunedin - Péninsule d’Otaga - Southern Scenic Road - Milton - Curio Bay - Invercargill - Bluff - Monkey Island - Manapouri - Te Anau -  Milford Sound - Queenstown - Wanaka - West Coast - Punakaiki - Motueka - Blenheim - Kaikoura - Akaroa - Christchurch.


Profitez des photos en attendant... quoi que la non plus ca ne se passe pas bien. Ah l'informatique que ferait on sans ca...

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Une image des Boulders pour vous faire patienter.

49_18/03/2006 03:19 - Tahiti, Maupiti, Huahine, etc...

Polynesie Francaise : du 19 fevrier au 4 mars 2006

Trajet : Ile de Tahiti/ Papeete/ Aeroport de Faaa, Paea, Faaa, Ile de Maupiti, Ile de Raiatea, Ile de Huahine, Ile de Tahiti/Aeroport de Faaa, Paea, Teuhapo, Paea, Pointe de Venus, Paea

Resume : Arrivee en pleine nuit a l'aeroport de Faaa a Tahiti, j'ai profite de la reservation de Claudia, une allemande que j'avais rencontrer le jour meme a Rapa Nui, je me suis retrouvee a la pension Te Miti dans la ville de Paea. J'avais 10 jours avant mon prochain vol pour la nouvelle zelande et entre temps je comptais bien bouger un peu et faire mon bapteme de plangee dans un coin ou j'etais sure de comprendre ce qu'on me dirait et inversement et ou l'eau est definitivement plus chaude que dans la france de metropole...
J'ai visite quelques iles au passage et decouvert que les plages de sables fins et les cocotiers ne sont rien a cote de ce qui est present sur place, juste une carte postale !

Ah oui, j'oubliais il y a 20 morts par an a cause des Requins et 2000 a cause des noix de coco, alors faites attentions ou vous marchez, allez plutot nager !



Tahiti,
ca  veut dire frappee (hiti) par la fleur sacree (Ta) ; un beau presage. Il y a Tahiti et la presqu'ile dont la pointe Teahupoo (prononcer Tchu'po) est un spot de surf mondialement connu.
 
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Paea est a 18 km de Papeete, c'est a dire au PK / Point Kilometrique 18, c'est comme ca que sont donnees toutes les adresses sur l'ile et la presqu'ile. Mais je ne voulais pas rester pendant dix jours au meme endroit. J'avais penser aller a Moorea mais une rencontre avec un francais de Tahiti a l'ile de paques m'a persuadee d'aller voir Maupiti. Son argument etait simple :"si tu veux voir les iles comme elles etaient il y a 20 ou 30 ans, va a Maupiti" auquel il a ajoute "si t'avais pas ete sympa je t'envoyais a Bora Bora"...

A la pension, se trouvait plein de monde d'un peu partout et de tous les ages. Le petit dej' en commun faisait parler tout le monde de ses projets comme de ses facons de voyager et les endroits deja vus. Parmis tous deux jeunes vivant a Huahine, un prof de natation et l'autre moniteur de plongee. Quand je leur ai explique mes stress vis a vis du masque de plongee etc... ils ont tout fait pour dedramatioser la chose. A force de parler et de m'assurer qu'il fallait un rapport de confiance de personne a personne, je me suis decidee a aller voir aussi Huahine.

Du coup j'ai acheter un pass pour visiter quelques iles, plus cher que prevu mais contente de l'avoir fait.

Maupiti, la plus petite ile des iles sous le vent. Les iles se sont formees il y a des milliers, millions d'annees et sont toutes des volcans eteints. Petit a petit, elles s'enfoncent dans l'ocean. C'est comme ca qu'il y a une ile et tout autour une barriere de corail qui forme les motus. Les motus, c'est ce qu'on voit sur les cartes postales. L'archipel des Toamotus n'est fait que de ca, une bande de sable sur une barriere de corail avec des cocotiers. Je resume car je n'ai pas vu...
Le Motu de Maupiti est le seul accessible a pied. Une balade dans l'eau d'une bonne demi-heure permet d'atteindre un banc de sable avec plein de cocotiers... tiens ! une vrai carte postale.
Nous avons fait la traversee allee a 2 avec Michele, que j'avais rencontree a la pension mais je n'avais plus envie de rentree alors elle est repartie avant moi pendant que je lisais tranquille sur la plage loin des noix de cocos et des coup de soleil.
Le lendemain j'ai fait le tour de l'ile a pied. En partant du port, j'ai mis 2h et quelques a retourner Chez Maupiti Loisir et la "petulante Simone" comme dit le Lonely Planet. AU passages j'ai pu voir des petroglyphes representants pour la plus part des tortues et des Marea qui m'ont fait penser aux Ahu vus a Rapa Nui. Les sites historiques etaient marques sur la carte dans l'aeroport mais pas signales dans l'ile ce qui fait que j'en ai rate plusieurs. Domage.


C'est ce qui est le plus etonant quand on visite ces iles. Tout fait croire que les seules choses a voir sont les plages et pourtant, il y a la aussi toute l'identite polynesienne qui est presente et bien presente. Les gens ont un quelque choses des tableaux de Gaugin, toujours une fleur dans les cheveux, un tatouage ethnic, des couleurs sur leurs vetements et la aussi le sourire et le bonjour a chaque fois et des indications pour ceci ou cela.
Mais pas seulement, il y a aussi un lien historique, on peut trouver des points communs entre Rapa Nui et Tahiti. Des mot qui se ressemble dans les deux langues, des coutumes comme le Umu qui est commun a toute la Polynesie mais avec des noms differents.
Ce cote culturel est trop vaguement mis en valeur quand on est au loin et ce fut une bonne surprise pour moi.

L'autre chose qui est peu mis en valeur c'est la montagne. Tous ceux qui revent de rando, trecking, rafting, et autre sport qu'on ne peut pas faire sur les plages on de quoi se regaler. C'est l'endroit ideal pour allier mer et montagne mais personne n'en parle. Deux anglais avec qui j'ai voyager de Chez Te Miti au Central Backpacker de Auckland on apprit trop tard qu'ils auraient pu faire une belle descente de raft dans les montagnes,ils en etaient bien decus...


A Huahine, j'ai pu faire un tour avec un guide passionne par son ile. Il passait son temps a nous raconter des legendes sur tout ce qui avait cree les iles et laisse ses traces ici ou la. Comme la pate du chien sur une roche, les dieux qui dorment couches dans les montagnes de Huahine Nui (grand) ou Huahine iti (petit). Et j'en ai oublier tellement il y en avait. Surtout que c'etait apres ma premiere plongee avec bouteille alors les emotions, j'avais eu mon compte.

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Ma premiere plongee, toute une histoire. Le temps etant compte, il n' a pas ete possible que je prenne confiance avec le masque avant la plongee. Mais j'etais tellement motivee que je voulais y arrivee, et ca a ete le cas. Jean-Philippe m'a donne quelques conseils, explique quelques petits choses et fait tester le tout hors de l'eau avant de me guider pendant toute la plongee. J'ai eu quelques moments de panique, gerer parfaitement par JP qui m'a fait remonter a la surface avant meme que je m'en rende compte jusqu'a la derniere crise a laquelle j'ai reussit a faire face, en bas, dans l'eau... mais je n'aime toujours pas avoir ce foutu masque sur le nez.
Grace q ce foutu masque j'ai tout de meme pu voir des petits poissons par dizaines. Le seul dont je me souvienne du nom est le poisson peroquet, on dirait un arc en ciel.

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A Huahine se trouve une ferme perliere ou on peut voir les huitres, le processus de greffe et si on a de la chance on assiste a une greffe. On peut aussi plonger en apnee a cote de la boutique sur pilotis et voir plein de poissons attendre qu'on les nourrisse. Je suis passe la veille de la greffe sans mon maillot ni mes lunettes et revenue le lendemain avec tout le necessaire. J'ai pu assister a une seconde greffe, celle ou on enleve la premiere perle pour mettre un dexieme noyau et renvoyer l'huitre dans l'eau pour au moins 18 mois. et j'ai pu plonger voir les poissons se jetter sur les huitres qui n'etaient plus bonne a la creation de perle mais tres au gout des poissons presents...

Entre les deux iles j'ai passe une nuit a Raiatea mais c'etait trop court pour en voir autre chose que le soleil couchant sur la baie. Deja pas mal, je reconnais.


En revenant a Tahiti, je suis retournee a la pension Te Miti et j'ai eu la flemme d'aller jusqu'a Moorea, qui n'est qu'a 30 minutes en baeau, amis j'en avais deja pas mal vu. Je me suis baladee en stop sur l'ile et la presqu'ile. De Teahupoo a la Pointe de Venus qui malgre son nom est le lei d'accostage des missionaires protestants et de la premiere bible de polynesie... Mais Fred, de Te Miti, expliquait que les locaux ont leur propres arrangements avec les religions. Si celle-ci les empeche de faire une activite, ils en changent sans vergogne et autant de fois que necessaire. Ce qui fait que chacun, dans une meme famille peut avoir une religion differente de celle des autres. C'est deja moins pire comme on dit a Montreal...

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Une derniere chose, quand j'ai pris le bus la premiere fois pour aller vers Papeete de Paea, je me suis dit "ah bin voila, je suis bien en France : ca rale, c'est pas content, ca geule et... y a de la baguette !" Y'a pas que ca, mais y'a de ca...


Voila, je crois que c'est tout pour la mise a jour du jour, ca m'a rechauffee des voir toutes ces images, et c'est tant mieux car il fait un peu froid ici dans le sud de l'ile du sud des kiwis...

http://fr.pg.photos.yahoo.com/ph/natakwet/album?.dir=/6856&.src=ph&.tok=ph4gGpEBNApXf4Ce

ecrit le 18 mars a Invercargill, NZ

48_18/03/2006 02:20 - Les cartes postales du bateau

Les cartes postales du bateau de Patagonie :

Ca fait longtemps que j'ai pris ce bateau mais je suis retombee sur ce texte en faisant du tri sur mon Archos...
alors retour au mois de decembre, juste avant Noel.

Les cartes postales du bateau :
 
Sur le bateau, j' étais dans les dortoirs. En fait un grand dortoir avec différentes entrées et des cabines superposées partout dans tous les couloirs... J' ai eu la chance d'avoir un lit dans le couloir qui mène aux toilettes... Mais ça allait, je n'entendais rien sauf une douche à 3H du mat' qui m'adonne une sacrée envie de pisser...
 
Sur le pont du bateau, on pouvait voir tout le monde tourner, se poser et guetter l'horizon en espérant voir des baleines ou d'autres animaux locaux. J'ai pu voir des tas d'oiseaux dont je ne connais pas le nom, encore des lion de mer, des dauphins et peut-être bien des pingouins. Certains ont vu des orques, pas moi. Mais il semblerait qu'il n'y avait que les jets à voir... C'était pendant le petit tour en mer, enfin dans le Pacifique. A ce moment là, le bateau bougeait beaucoup, on nous avait même conseillé de prendre la petite pilule magique et ceux qui ne l'on pas prise l'on plutôt regretté. On les voyait devenir de plus en plus jaune, voire vert et la plus part sont partis se coucher avant le dîner.  D'ailleurs, pendant ce dîner il y avait beaucoup moins de monde que d'habitude...  
Dans la cabine du capitaine, on pouvait essayer de lire tous les instruments, mais à part le gps et le radar, je n'ai pas compris grand chose.
A l'avant du bateau, on pouvait regarder les îles passées, petites, moyennes, mais rarement très grandes, peuplées uniquement d'arbres d'abord puis seulement de roches.
Notre trajet passait par le petit port de Puerto Eden. Un petit port construit en 1964 (à vérifier). Sur cette île se trouvent les derniers représentant d'une ethnie ancienne. Si certains d'entre nous avaient peur de descendre visiter un zoo, ce que nous avons trouvé n'avait rien à voir. Déjà, nous ne savions pas qui était les 7 "survivants" et si quelques stands se trouvaient sur notre chemin, je n'ai pas eu l'impression d'être attendue comme dans certains autres endroits d'Amérique du sud.
Ce que j'y ai découvert fut un petit port calme et tranquille. Des maison en bois, une parcours en bois qui fait le tour du village, de la végétation partout, un petit chemin devenu jaune de bouton d'or, un hospedaje rouge et partout des bateaux jaunes et rouges dans différents états répondants aux noms de "libertad" "titanic"... Les abords des plages étaient jonchés de coquilles de moules géantes, spécialités de la pèche locale. Malheureusement, l'algue rouge sévit dans le coin et aucun crustacés ne peut plus être manger cru.
J'ai bien aimé le lieu. L'escale durait une heure, pendant laquelle nous pouvions faire le tour de l'île grâce au parcours en bois. Escale pendant laquelle Navimag amène les provisions de la semaine. Ils nous ont expliqué qu'en cas de gros temps, il n'y a pas de balade, mais le déchargement des vivres et aux nécessités se fait tout de même.
Sur le trajet nous avons fait un petit détour et ainsi, vu notre premier glacier, Pie XI (ou IX, je ne sais plus...). Il y avait quelques icebergs, mais nous n'avons pas vu de chutes de glaces. Les ponts étaient plein, personne n' a raté ça. Il s'est mis à faire froid. Le vent venait du glacier mais le thermomètre ne montrait que 9,5°C pas si froid, sauf quand on arrive de la Selva avec ses 30° et quelques...
 
Nous sommes arrivé à Puerto Natales plus tôt que je ne croyais. De loin la ville paraissait petite, mais plus on s'est rapprochés plus on a vu que c'était surtout car maisons étaient basses, vent oblige.
 
De Puerto Natales, il n'y a pas beaucoup de choix; soit on part visiter le parc Torres del Paine, soit on descend vers Punto Arénas.
J'ai eu envie de voir le parc. Je pensais passer une nuit dans le parc, puis marcher une journée et quand, en buvant un verre avec la petite troupe de français rencontrés sur la bateau, je me suis rendu compte que je me retrouverais seule à Puerto Natales pour le réveillon de noël, j'ai décider que je serais mieux dans le parc... Et du coup je me suis fait embarquée pour le W, ou plutôt pour ce que je serai capable d'en faire ce qui fit pas mal de kilomètres tout de même.
 

47_17/03/2006 03:56 - Au sud du sud de l'ile du sud

Toujours chez les kiwis, a nouveau sous la pluie et maintenant dans le froid, je me trouve a Invercagill. La conduite a gauche a fait ses ravages : 2 pneux neufs pas vraiment prevus mais il vallait mieux le tortoir que le mobil-home en face et non ce n'est pas moi qui etais du mauvais cote de la route !
Je descends de Christchurch a Invercagill par la cote et rencontre plein de pingouins...

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une plage innaccessibles des Catlins

Mise a jour le 1 avril...


Je suis de retour a Christchurch, j'ai des trous dans le pare-brise, un choc sur le parechoc arriere et plus de place sur mon archos pour mettre les nouvelles photos. 

45_13/02/2006 02:56 - Rapa Nui

Rapa Nui, Ile de Paques, Easer Ilsand, etc... : du 8 au 19 fevrier 2006

L'ile de Paques, tout le monde ou presque en connait ce qui est donne a voir : les Moais.
Pour en savoir plus, lisez "lire la suite" ...

Mi-fevrier : Et voilà, j´y suis dans l`Ile du bout du monde, cette destination qui rend presque tout le monde jaloux. Alors pour vous faire plaisir, et avant de vous en raconter plus quand j`aurais le temps et l´envie de mettre mon site à jour, je teins à vous faire savoir : Il PLEUT !

Il y a aussi des Moais partout et... ça ratrape tout.

Rapa Nui, Ile de Paques, Easer Ilsand, etc... : du 8 au 19 fevrier 2006

Rapa Nui est en plein festival Tapati, qui est plus un festival entre les locaux et pour les locaux mais c´est très chouette.


Aller je vais rendre la moto que j`avais louer alors qu´il faisait beau. J`ai des superbes image plein la tête pour me tenir chaud dans le duvet.

L'ile de Paques, tout le monde ou presque en connait ce qui est donne a voir : les Moais.

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On peut, entre deux avions, faire un tour de l'ile et voir les Moais, la carriere, le musee et les boutiques avec leur reproductions. C'est ce que font beaucoup de gens, comme par exemple ceux en croisiere qui debarquent le dimanche quand la mer le permet (j'en ai vu 3 coinces en mer qui n'ont rien vu!) ou on peut reser plus longtemps. La on decouvre les roches volcaniques noires de la cote, les verts des monts et des prairires, l'odeur de l'eucalyptus, la force des vagues a Anakena, les bleus de la mer et  du ciel, les etoiles dans la nuit, le soleil et la pluie qui se partagent l'ile et le sourire des gens.
Pour peu qu'en plus on ait la chance que j'ai eu de tomber, sans le savoir, en plein festival de Tapati et on comprend a quel point Rapa Nui c'est comme les Moais, la plus grande partie est cachee et tout aussi interressante...
Biensur tout n'est pas parfait et comme on dit en espagnol "petit village, grand enfer" , mais malgre cela c'est un endroit ou il regne une ambiance particuliere et ou j'ai deja envie de revenir.

Comme sur tout les iles la vie y est chere, Piti, avec qui j'ai fait un tour a cheval vers le sommet de l'ile, m'expliquait qu'ici les plus pauvres des pauvres se deplacent a cheval. Les chevaux cotoyant sur la route des 4x4, des motos, des velos, des scooters, des taxis et quelques voitures parfois dans de droles d'etats.


Le festival avait quelque de particulier car les regles n'en etait pas expliquer et pour comprendre il fallait absolument parler avec les locaux. C'est comme ca que j'ai parler avec pas mal de monde, pu manger le ceviche gagant du concours de cuisine de Rapa Nui, apprendre a tresser des cordes avec quatre brins de totora, une sorte pour le travail et une autre sorte par le Hami, le vetement traditionnel et comprendre que chaque participant aux competitions choisissait de donner ses point a l'une ou l'autre des candidates "reine" : Tamy ou Vai a Heva. Toutes deux avaient aussi des epreuves a realiser comme faire des colliers de coquillages, danser, cuisiner un poisson sur des pierres chaudes, peindre sur le tissus vegetal traditionnel, etc... C'est Tamy qui a gagne.
Le cadeau le plus important qu'on puisse faire a un Pascuan est de lui offrir a manger et vice versa. C'est anisi que plusieurs fois un UMU a ete offert a la communaute,y ocmpris tous les touristes qui se trouvaient la. Le UMU est le plat traditionnel qui se prepare longtemps a l'avance. Dans un trou creuser dans la terre on place du bois auquel on mettra feu, sur ce bois on ajoute des pierres, sur ces pierres on met des plats ou simplement des feuilles de bananiers dans ces plats/feuilles on place la viande et les legumes des patates douces violettes et des courges oranges. On referme le tout en ajoutant des feuilles de bananiers puis de nouveau des pierres et on laisse cuire pendant des heures...
Le Umu prepare pour la communaute et toutes les personnes particiant au festival etait enorme, il a nececite 7 vaches !!! Le second Umu auquel j'ai goute fut celui de la "farandula" ou chaque candidate defilait avec son cortege de volontaires decorer a l'argile de la tete aux pieds. Celui-ci etait, en plus servi dans une feuille d'arbre dont le nom local est Romero. Encore meilleur car encore plus beau dans son melange de couleurs.

Tous les Moais ont ete, a un moment ou a un autre, renverses pendant les batailles inter-clans qui ont amenes a un changement de culte des Moais, representant les ancestres et la force qu'ils approtaient a leur clan/famille, a l'homme-oiseau dont le "couronnement", pour resumer toute la demarche, etait renouvele tous les ans. Pour vous donner une idee, cherchez a voir le film "Rapa Nui", certe romance mais tout de meme assez proche de ce que l'ont en sait.
Beaucoup de Moais sont enfouis sous terre jusqu'au torse alors que certains, acroupis, ont meme leurs pieds de sculptes. Presque la moitie des moais se trouvent toujours dans les abords de la carriere ou ils etaient sculptes.

Ah oui, j'oubliais, elle s'appelle l'ile de paque car elle a ete "decouverte" par les europeens un jour de Paques, sinon on l'appelle Rapa Nui qui veut dire "la grande Ile" en oposition a Rapa Iti qui veut dire petite ile.

46_26/02/2006 04:27 - Sur les îles

Sur les îles il n'y a pas souvent Internet... parcontre il y a le soleil, la mer et ... les moustiques !!!

à la prochaine.

44_07/02/2006 23:03 - de Cusco à Santiago par Uyuni

Pérou, Bolivie, Chili du 26 janvier au 7 février :


Le Trajet : Cusco, Puno, Uros sur le Lac Titikaka - Frontière Péru / Bolivie - Copacabana, La Paz, Oruro, Potosi, Uyuni - tour du Salar et des déserts autour - Frontière Bolivie / Chili - San Pedro d´Atacama, Santiago.


Résumé : En redecendant de Cusco, il me restait assez peu de temps pour faire ce que j`avais eu envie de visiter. J`ai limiter ma visite de la Bolivie au Salar d` Uyuni, tout en sachant que Janvier, Février, Mars est la plus "mauvaise" saison pour le visiter.

 
Une fois racompagner Thomas à la station de bus pour qu´il rejoindre sa
dulcinéeà Lima, j`ai passé quelques heures sous la pluie de Cusco, sur
Internet, à attendre mon bus de nuit pour Puno puis Copacabana sur le
Lac Titikaka.


Oui, j`écris Titikaka car les gens du coin n`aiment pas que leur
magnifique lac puisse ressemblé à un "caca" dans la bouche de certain, alors
ils insitent sur le fait que ce sont des sons longs et un peu gutureaux
qui forment le nom de leur domicile.



Une fois arrivée à Puno à 4h du matin, je me suis rendue compte que
j`aurais bien le temps dá ller Au moins visiter les îles flottantes de
Uros sur le Lac avant de repartir. Je me suis débrouillée pour trouver un
tour et surtout pour faire entendre aux personnes des agences de bus
que je nà vais pas besoin d´un bus touristique (ou spécial touristes avec
confort et tout et tout) pour me rendre à Copacabana de l´autre coté de
la frontière, c´est à dire à 3 heures de route y compris le passage du
poste frontière...



Et c´est ainsi que j`ai été voir de plus près ces fameuses îles,
pendant que mes autres collègues de bus roulaient paisiblement vers
Copacabana ou La Paz dans un bus tout confort et sans profiter des cette belle
balade sous le soleil. Bon, certains là vaient déjà fait, et je
reconnait que tout est fait pour le touriste... mais la balade était agréable,
le tour sur la pirogue en totora (roseau) bien douce et le soleil au
rendez-vous. Alors je suis contente d´avoir fait ce détour. Surtout
qu´ensuite j`ai pu passer la frontière de ma manière péférée : seule sans
horde de tourristes stressés ni personne pour venir fouiller quoi que ce
soit dans mes sacs. Derrière la frontière j`ai pris un "colectivo" avec
des locaux, une route qui tourne, et Copacabana à l`arrivée.



A Copacabana, il faisait beau. La plage était vivante de monde, locaux
et touristes profitadu soleil. En bruit de fond un fanfare préparait la
fète prochaine. Je me suis balader sur la plage en regardant les gens
qui jouaient au Baby Foot... même une dame en costume traditionnel qui
jouait avec sa fille, elle aussi portant des tresses ! suréaliste ! Puis
j`ai croisé deux argentins que j`avais rencontrer à Olantay Tambo et
Machu Picchu. Ils allaient faire une balade à l`ile du Soleil le
lendemain, moi j en`avais rien réserver... et heuresement en me réveillant tot
pour aller chercher ça le lendemain, il pleuvait tellement que j`ai
changer mes plans pour arriver "au plus vite" à Uyuni.



Nouveau "colectivo" pour La Paz avec des touristes argentins qui me
trouveront un taxi "seguro" à l`arrivée pour m´ememener au bon terminal de
bus de La Paz prendre le bus pour la ville suivante. Le Taxi était
entouré de militaires et policiers. Je crois que je n`en ai jamais autant
vu que là, pas agréable.


La PAZ . la seule chose que j`ai vu de cette ville ce sont les barios
(quartiers) hauts, le Prado (tiens, ici aussi ?!) et la San Francisco
(une église, cathedrale ou basilique... je ne sais pas la différence).
J`ai voulu prendre un bus touristique ne me disant que ce serait le moyen
le plus facile pour voir un maximum en un minimum de temps... mais il
semblerait que ces bus ne soit QUE le matin. Il était 14h lorsque je
suis arrivée.



Oruro, la ville d`où part le train pour Uyuni. Seulement voilà, la
route étant coupée pour cause d´innondations, le train est complet et il
n´y en a que tous les 2 ou 3 jours. Alors je suis repartie en bus pour
Potosi où je n`avais pas prévue de m`arrêter mais où je suis restée une
journée de trop car c´e´tait un dimanche et il n`y a RIEN d`ouvert le
dimanche après midi. Mais RIEN ! Le matin, laissant partir tous les bus
pour Uyuni, j`ai visité la Casa de la Moneda où on vous explique comment
les monnaies Bolivienne et Espagnole étaient frappées et comment ça
c´est arrêter. On y voit tellement de minéraux qu´on se demande comment la
Boilivie est si pauvre.


La Pauvreté : Elle est présente autrement que dans les autres pays. Les
enfants et les vieux font la manche le long du passage des bus, et je
n`était pas dans un bus à touristes ce qui veut dire qu´ils demandent
l`aide de tous. J`ai vu les rues grandes et larges en terre, sur le
plateau derrière la Paz, remplies de boue pour cause de saison des pluies.
J`ai vu les gens creuser la terre pour iriguer de cette mème eau de
pluie leur terrain, ou plutot le bord de la route, j´en ai vu d´autre aussi
combler le caniveau tout neuf pour ajouter un passage pour des
vehicules (pas prévu ?!), et tout ça sous la pluie batante. Et je n`ai pas vu
grand chose de la Bolivie mais pour vous donner une idée 2kg de sel du
Salar d´Uyuni, traités à la main sont vendus 50 centimes de Boliviano et il faut 10 Bolivianos
pour faire un Euro...


Le reste du voyage, vers le Salar et le Chili, sera pour une autre fois. Demain, 8 fevrier,
j`ai un avion tôt pour l`Ile de Paques et je vais aller manger avec Yoann
avec qui j`ai fais le treking dans le Parc de Torres del Paine en
Patagonie Chilienne.



Aller à la prochaine !
Nath



http://fr.pg.photos.yahoo.com/ph/natakwet/album?.dir=/595f&.src=ph&.tok=phiQ9XEB7n94hcw.

http://fr.pg.photos.yahoo.com/ph/natakwet/album?.dir=/650d&.src=ph&.tok=phFM9XEBXdZavhuo

43_07/02/2006 16:10 - Et merde...

Et merde... les pirates sont revenus !

Après m´être fait pirater mon livre d`or, le site est maintenant piraté au niveau des commentaires. Pour m´éviter tous désagréments de suivi de site etc, je préfère supprimer tout ces genres de possibilité d´ecrire et ainsi éviter d´avoir aussi des racourcis pour des adresses "indésirables". Le pubs pour les sites de poker en ligne ou pour les photos d´infections quelconque n´étant pas le but de mon site.

Maintenant, pour me faire coucou et me dire ce que vous pensez, il vous reste le mail direct, ou les cartes postales dans les rubriques "ecrivez-moi" ou "contactez-moi".

A la prochaine... Nath, en partance pour l`île de Paques.

42_25/01/2006 17:03 - Le Machu Picchu

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Voilà, ça se passe un peu de commentaire. Mais imaginez le choc émotionnel lorsque vous avez dans VOTRE propre viseur un truc immense que vous voyez depuis des années sur des tas de photos... d´autres !


J´en raconterais plus un autre jour, pour l´instant je profite des dernières heures accompagnée avant de reprendre la route, seule ce soir, pour Copaccabana en Bolivie.

Le prochaine avion est le 8 février pour l´île de Paques.

41_18/01/2006 23:58 - Les Patagonies

La patagonie, c´est tout le sud de l`Amérique du Sud, mais dans la Patagonie, il y a la Patagonie Chilienne, la Patagonie Argentine, la Patagonie du sud, la Patagonie du Nord et on est prié dene pas les confondre... Pourtant, ça serait bien mieux sans les frontières mais ça c´est une autre histoire...

Le Trajet en Patagonie : Le Bateau - Puerto Montt - Puerto Eden - Puerto Natales - fin du bateau - Parc du Torres del Paine - Puerto Natales - Punta Arenas - Detroit de Magelan - Ushuaïa - Parc de la Terre de Feu - El Calafaté - Le Glacier Perito Moreno - la Ruta 40 - El Chalten et le Fitz Roy - Perito Moreno Ciudad - El Bolson - Bariloché


Les cartes postales du bateau :
toujours pas à jour...


Le shreking dans Torres del Paine :
toujours pas à jour...


Le Voyage vers Ushuaïa :

Les cartes postales du bus de Punta Arenas à Ushuaïa :
La route suit le détroit de Magellan que j´imaginais animé des courants proches, mais que j`ai trouvé calme comme une mer d´huile. C´est la mer, c´est même l`océan et il n´y a pas une vague.
Nous passerons le détoir à l´endroit le plus court, une demi heure de traversé en compagnie des pingouins du même nom à qui j´irais rendre visite dans l´une de leur colonie.

Du plat, du plat, du plat, une barrière de barbelés d´un coté et de l´autre de la frontière et rien. Rien d´un coté comme de l`autre de la frontière. Aucune bête à l´horizon,on dirait quélle n´ont pas eu le droit de venir paitre dans cette zone de no man´s land.
La frontière fut un peu longue à passée mais ce fut sans encombre. La seule personne qui n`a pas fini le voyage s´était rendu compte avant le bac qu´elle avait oublié son passeport et avait du faire marche arrière.

40_18/01/2006 23:43 - La Ruta 40

La Ruta 40 du 4 janvier au 15 janvier 2006

Trajet : Ushuaïa - El Calafate - LE glacier Perito Moreno - El chalten & le Fitz Roy - Perito Moreno (la ville) - El boslon - Bariloché - Osorno au Chili

Le Top : LE Glacier Perito Moreno. La Cueva de Los Manos,peintures rupestres de 9300 ans.
Le Flop : Le mauvais temps sur le parc du Fitz Roy. Des jours de bus toute seule ou presque surtout après avoir passé du temps avec une bonne dizaine de personnes bien sympas.

En résumé : Après Ushuaia, le reste de la patagonie m`attirait trop pour que je remonte très vite. Et à force d´entendre parler du Glacier, l´énorme, le monstre, LE Perito Moreno, le seul et l´unique, ça paraissait la seule desintation possible. De là j`ai pris une route moins utilisée que les autres, pour voir à quoi ressemblait la pampa Argentine et surtout car c`etait le seule chemin pour aller visiter la Cueva de Los Manos dont les images sur les cartes postales m´intriguaient énormément.


A Ushuaïa, il y a un "truc" dont on n´était que peu au courrant en arrivant : la difficulté à partir de la ville. Pas parce qu´on voudrait rester des sciècles, il y a d´autres endroits qui atirrent tout le monde, mais parce qu´il y a peu de moyen de tranpsort pour sortit de la ville si on ne l´a pas prévu avant. Ce qui fait que j`ai pris l`avion pour El clafaté plutôt que de me faire 20h de bus et repasser deux fois la douane pour atteindre un autre bout de l`Argentine. Et oui, les frontières sont telles que l´Argentine est coupée en deux entre sa partie de la Patagonie et la Terre de feu. Passage obligatoire par le Chili, ce qui n´arrange personne sauf peut-être les Chiliens.



En remontant du parc des glaciers par l´intérieur plutôt que par la cote on peut voir des kilomètres et des kilomètres de pampa. Un désert presque interminable bordé des montagnes de la cordillères des andes.

La Ruta 40 (prononcer cuarenta) parcours toute l`argentine du nord au sud. Je l´ai prise de El calafate, à Bariloché en passant par El Chalten et le Fitz Roy, la Ville de Perito Moreno et la Cueva de los Manos. C´est une piste sur la plus part du trajet, ça en devient un peu monotone mias le voyage vaut le coup car je crois que c´est tout aussi monotone sur l´autre route.

C´est de là que nos routes se sont toutes dispersées.


38_12/01/2006 00:31 - Le Parc des Glaciers

Alors voilà, c´était tellement beau que je mets quelques photos en ligne avant de mettre mon site à jour sur les épisodes manquants...

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Je suis sure que vous ne m´en voudrez pas.

Les photos sont dans "lire la suite" ...

37_05/01/2006 20:07 - Chili en vitesse

Chili – du 9 au 29 décembre 2005.


Le Trajet :
Lima – Santiago – Viña del Mar / Valpariaso – Santiago – Puerto Varas – Puerto Montt – Puerto Eden – Puerto Natales – Torres del Paine – Punto Arenas


Le TOP :
Passer du nord au sud par les canaux, le pacifique, les fjords et des vues incroyables. Le plateau de fruits de mer chaud à Puerto Varas avec Loreto. La marche dans le parc de Torres del Paine, malgré les ampoules... je me suis surpassée grâce à la petite troupe qui m´a entrainée.


Le Flop :
Plus de deux jours de bus entre Lima et Santiago... Ne pas réussir à joindre mon oncle et ma tante à Viña del Mar : Devoir aller vite et rater l`Ile de Chiloé. Et les Ampoules aux pieds !


En résumé :
Au lieu de courrir vers Machu Picchu, Titicaca, et quelques autres lieux que já vais envie de visiter, j´ai préféré aller directement au Chili et prendre le train de Santiago á Puerto Montt. Avant le bateau j´ai rencontrée Loreto l´amoureuse lointaine d´un copain de marseille avec qui je suis partie boire des verres, et se faire un bon resto puis refaire le monde sur la plage devant les volcans Osorno et je ne sais plus le nom de l´autre.
Sur le bateau entre Puerto Montt et Puerto Natales, j´ai rencontré plein de français, joué au tarot vus quelques bestioles dans l´eau, raté les baleine pour cause de Tarot et de risque de mal de mer... (le tarot est un bon antidote au mal de mer) et j´ai visité un petit port du nom de Puerto Eden (comme le paradis) où l´escale dur une heure ou une semaine...
En arrivant à Puerto Natales on s´est retrouvé à plusieurs et fait un treking dans le parc de Torres del Paine sous un soleil radieux et avec très peu de vent... Aucun de nous ne peux penser que le temps change vite qu´il est souvent couvert et pluvieux et que le vent n´arrète pas car nous n`avons presque rien eu de tout ça.


Le bus de Lima à Santiago :
Thomas et Mariela m´ont accompagnée au départ et fait de grands signes jusqu´à ce qu´au départ. Ça fait du bien et ça a été plus facile que le départ d´Iquitos pour Lima. Il faut dire qu´entre temps j´avais regardeé la carte du trajet entre Puerto Montt et Puerto Natales et ça m´a bien aidée.
Le trajet dot duré 2jours et 6 heures et faire un peu plus de 3000 km. La place que já vais réservée, car les places sont numérotées, était du coté gauche car c´était la dernière libre vers l´avant et en montant dans le bus toutes les numérotations étaient inversées. J´ai pu voir la mer pendant des kilomètre durant, mais au bout dé plusieurs jours de désert, la mer ou pas on en a marre.
Les bus Péruviens passent des vidéos et pendant des heures j´ai eu le droit á des films dignes d´un lendemain de cuite en espagnols sans sous titre et des clips vidéos locaux remontant des années 60 aux années « macaréna » : Je cite ce lcip car c´est le seul titre que je connaissais. Il y avait pourtant des extrait de concert d´Adamo, mais en espagnol je n´ai rien reconu !
Au bout de quelque temps ça aussi, y´en a marre, surtout que le son était tellement fort que je l´entendais malgré mon walkman...
Après 25 minutes de route pour sortir de Lima c´est le premier péage. Tout le long de la route se trouvent des stands comme partout sauf que ceux-là vendent des parasols, des chapeaux de pailles, des bouées, des matelas gonflables... On dirait que la plage n´est pas loin. A lima il est déconseillé de se baigner, consignes autant de sécurité que d´hygiène. Les plages que je vois là, ont l´air privées mais surtout sont derrière des murs en parpaings couvers de pubs.
Plus tard, plus loin, des taxis motos d´une nouvelle sorte attendent le chalan. Ils sont entièrement fermés et ressemble au petits véhicules à trois roues qu`on voit en France. Pas de vent pour rafraichir dans ceux là.
Le lit asséché d´une rivière s´est transformé en décharge. Une paillote est installée contre un arbre surplombant le flot de détritus. Autour des sacs rangés et quelques ordures en vrac. Un homme veille sur tout ça.
A un arrêt, j´ai voulu descendre mais le bus reste bouclé par sécurtié.
Des poulaillés aussi grand que des serres orthicoles, sont laissés dans une sorte d´abandon, certains n´ont plus de toits, d´autre seulement les contours et plus loin d´autres son tplein de poulets. Dans certains on ne voit qu´une masse sombre avec ça et là deux ou trois poulets qui ont trouvé un perchoir pour echapper à la foule. Dans d´autres ce sont des rangs de cages...
J´ai passé une borne kilométrique marquée Km 1222 mais je ne sais pas où est le Kilomètre Zéro !
Vers 11h30 le deuxième jour nous descendons du bus pour le premier contrôle des douanes péruviennes. Tout d´abord la recherche de fruit et légumes interdit au Chili puis la recherche de drogue. Les hommes et les femmes sont séparés, tout le monde est fouillé.
Pendant qu´on attend je comprend vaguement que les conversation stournent autour des mules (passeurs de drogues, souvent dans leurs intestints) de panétones chargés (en cette périodes de noël !) et autres histoires de drogues et passages. J´aurais aimé mieux comprendre.
J´ai eu le droit à la fouille du sac  « de cabine » et des poches mais rapide :  Pour mes gros sacs dans la soute, le douanier s´interresse plus à ce que j´ai vu au Pérou et à Aréquipa d´où il est qu´à ce qu`il y a dans mon sac. Surtout que le chauffeur est d´Iquitos et que s´engage une rivalité entre les deux villes...
Une fois les fouilles faites, je dois aller faire enregistrer ma sortie de territoire. Nous ne sommes que deux étrangères, une canadienne qui vient d´étudier à Lima et moi. Pour cette sortie de territoire il faut passer par deux guichets différents qui vont faire exactement la même chose, noter mon numéro de passeport, c´est tout. Aucune question par rapport à mon dépassement de date ni quoi que ce soit, c´est tout juste si on me prend le papier d´entrée dans le territoire à rendre à la sortie.
Tout ça nous a à peu près pris une heure et il nous reste la douane Chinilienne que l´on peu presque voir à quelques centaines de metres de route.
Là tous les  sacs sont alignés à terre en deux rangs, ceux de la soute et les autres, sauf le mien que j´ai gardé sur le dos. Une femme a distribués ses panetones de noel aux autres passagers pour être sure de pouvoir les passer car elle en a plus que les 6 autorisés... C´est noël ! Entre les deux rangs, les passagers par ordre de numéro de sièges.
Le chef arrive avec sont chien et lui fait renifler tout en insistant sur une grosse peluche qui sert de coussin à ma voisine de devant. Rien. Je comprend pourquoi les sacs sont alignés mais je ne´enlève pas le mien. Il n eme dira rien. En revanche, il ira demander les papiers de deux personnes coupable de délit de faciès... ici aussi ça existe.
Une de ces deux personnes ne passera pas la frontière. Au total se sont 7 personnes qui n´auraont pas l´autorisation d´entrer au Chili. Des amis sont séparées. Certains retenteront plus tard dans la journée, et nous apprendrons par les amis que leur nouvelle tentative a été plus fructueuse.
A 14h20 on repart aprés deux demi-tours car nous n´etions pas sur du nombre de personnes ayant passé la douane.
Je ne l´ai pas vu mais on m´a dit qu´un panneau indiquait Santiago à 2050 km.
Tacan est à 1300 km environ de Lima. Une belle trote au total...
4h15 premier réveil et il fait déjà jour. En fait, je ne le savais pas mais le Chili a un décalage de 2 heures avec le Pérou. A 6h30, heure péruvienne, le chauffeu remet la musique. J´ai les oreilles bouchées à force de monter et descendre de la montagne au bord de l`eau... Les plages ont changées d´aspect, il y a des rochers noirs partout.
Punto Fino est le premier village dont já ppercoit le nom et les maisons.
Avant on a croisé des lieux nommés Los Mecanos, Caleche, ou une plage avec des parasols plantés sur un banc en béon et à leur sommet un cormoran qui se repose.
Tout le long du rivage passe un tuyau et ici et là,un bloc en béton surmonté d´un robinet.
Une heure plus tard nous sommes à Caldera
Le désert rocheux a laissé place à un désert sec et sabloneux pendant des heures. Puis sont apparus des cactus parfois servant de clotures, bien rectilignes. Puis les eucalyptus sont de retour, et les plages, vides.
Les quelques vilages croisés ressembles plus à des villes nouvlles faites de maison en bois. Elles sont toutes semblables, avec le même espace qutour de chacunes d´elles et le même barbelé pour les délimiter. Espace qui deviendra un jardin luxuriant alors que la maison tombera en ruine. Mon oncle m´assure que les Chiliens attachent plus d´importance à leur jardin qu´à leur maison, quand je vois les jardins je peux le croire.
Qund je regarde dehors je me dis que ça pourait presque être la bretagne s´il n`y avait pas autant de cactus et d´algaves sur les coté ou des montagnes dans les nuages de l´autre coté de la route.


Valparaiso, la Vallé du Paradis :
Une maison orange, une maison bleue, une maison en bois, une maison jaune, une maison rose, une maison vertem une maison avec un étage en verre avec plein de plantes, des maisons de toutes formes et toutes couleurs à flanc des 42 cerros / colines. Des funiculaires en grève illimités et des porteños essouflés de monter à pieds, des virages dans tous les sens et un bus qui roule à toute vitesse, des rues en pentes et au milieu de tout ça « La Sebastiana »,une des maisons de Pablo Néruda qui surplombe le port et se noie dans la ville.


Les funiculaires de valaparaiso :
Les funiculaire sont en grêve ! Une institutions de Valparaiso, une monument historique,patrimoine mondiale de l´humanité comme ils disent sur leur panneau annoçant la grêve... ça n´empêche que j`ai un peu les boules de prendre le bus au lieu des funiculaires... C´est presque comme si on avait peint la ville d´une seule couleurs, c´est pas possible ! et pourtant c´est comme ça. Heureusement les couleurs sont toujours là.


Viña del Mar / Valparaiso :
Un train qui a été inauguré comme j´étais là. Il relit Valparaiso à Limache dans la campagne environnante. C´est le même train que Météor ou la ligne 14 à Paris (je ne suis plus sûre du nom) la seule différence c´est que celui-ci a un chauffeur.
Après Viña, puis Reñaca et leur constructions qui poussent comme des champignons pas beaux couvrant les dunes le long de la cote, après toute cette cote gachée, apparait Con-coñ pas encore défigurée avec ses plagesdont l´une au moins semble charier des débrits d´or. Ça brille et c´est magnifique tous ces reflets dorés sur le sable gris foncé.
J eme pose au soleil sur la plage aux reflets dorés. Des pélicans passent en groupe au raz de l´eau, on dirait qu´il sont synchornisés. Personne ne se baignent, cette plage n´est pas faite pour ça et le temps n´est pas aussi chaud que ne le laissait espéré ce début d´été.
Con-coñ, capitale chilienne de la gastronomie. Domage jene le savais pas, j´y suis arrivée après le déjeuner.


Dans le bus retour de Viña à Santiago :
Un bip assez fort a sonné deux ou trois fois sur le trajet. Le temps que je le localise et j´ai trouvé un mouchard qui annonçait chaque fois où le chauffeur dépassait les 100 km/h.


Santiago :
J´ai vu peu de chose à Santiago. Je devrais y repasser pour prendre l´avion pour l´île de Paques ...
De grandes avenues, des arbres et des parcs, une vielle et belle gare en fer forgée que les Creusotins, Yves et Marie, ont fièrement reconus comme ayant été construite grâce aux usines qui se trouvaient chez eux ils y a une centaine d´année. Une parc avec un funiculaire qui marche et surplombant la ville et son nuage de polution.
Sur le haut du parc, il n´y a plus que le scyclistes qui soufllent apprès l´accension en buvant une drôle de boisson dont la taille de la chope má fait reatrdé l´essai.
Dans l´autre parc Santa Lucia, j`ai croisé le péruvien qui avait fait le voyage avec nous, les deux étrangères, en bus.
Le métro de Santiago ressemble « étrangement »·au métro parisien, quand on entre dedans on peut voir que c´est Alsthom qui l`a construit.
Pour la partie Bateau, il faudar attendre un peu, il a beau pleuvoir à El Calafate près du Glacier Perito Moreno, ça fait déjà 5h que je me dépatouille avec mes écrits, mes photos, mon site et mes albums. Je vais faire une pause !!!
Mais avant les conexions n´étaient pas bonnes ou sans port usb pour vous montrer les photos, ou les deux...


A SUIVRE ...

Les cartes postales du bateau :



Le shreking dans Torres del Paine :



Le Voyage vers Ushuaïa :